Michael : Voici un article invité d’Alexandre Bruney et Gaëtan Lefebvre du blog www.construire-sa-retraite.com. Leur crédo ? La retraite, cela se construit dès maintenant et tout au long de sa carrière.
Plutôt de s’inquiéter de ce que l’on aura (ou pas), prenez les devants et suivez un plan pour avoir un niveau de revenus similaire à votre revenu d’actif.
Lisez la suite !
A moins d’avoir vécu dans une grotte depuis quelques mois, voire années, vous avez probablement entendu parler de réforme des retraites, financement des retraites, augmentation des cotisations, prélèvement sur les pensions. Avouez qu’il faut plutôt avoir le moral le matin en écoutant les différentes propositions de réformes qui se profilent dans les mois et années à venir.
Alors, face à cette morosité ambiante, nous avons 2 attitudes :
– subir et s’engager dans une phase inéluctablement dépressive à l’image du Basset Hound du magazine de télé bien connu …
– s’adapter, agir et mettre en place des dispositifs afin de mieux préparer sa retraite
Mais de quoi s’agit -il ?
Et bien c’est très simple, suivez notre sympathique histoire.
Il était une fois …
Il était une fois une tribu qui consacrait la majeure partie de son temps à travailler. Ils s’appelaient les actifs.
L’autre tribu consacrait la majeure partie de son temps à profiter de la vie. Ils s’appelaient les retraités.
Soyons honnêtes, avant d’accéder à ce statut envié par beaucoup, le retraité est nécessairement passé par la case « actif », … plus ou moins longtemps selon la typologie de l’actif !
Vous allez nous dire, qu’est-ce qui motivait cette tribu très étrange à passer ces journées à travailler ? Et bien le système était ainsi fait que pour subvenir à leurs besoins, les actifs devaient gagner de l’argent et ne pouvaient y parvenir que grâce au travail.
C’est bien normal : « tout travail mérite salaire ! » comme l’on dit.
Dans ce cas, comment faisait la tribu des retraités pour survivre ? La première idée qui va vous venir à l’esprit, c’est que les actifs avaient mis suffisamment d’argent de côté pour leur passage dans la tribu des retraités.
Cela aurait été logique… mais non ! En réalité, un prélèvement obligatoire (plus ou moins important selon la typologie de l’actif) était réalisé sur le salaire des actifs. Cela pouvait paraître injuste mais comme le retraité fût actif, il y avait une certaine équité à ce système, tant que la tribu des retraités n’était pas trop peuplée.
Mais un jour, l’enchanteur Merlin laissa choir l’élixir de longue vie sur la tribu des retraités. Et là, ce fut le drame : la belle mécanique du système fut rompue et la tribu des actifs ne parvenait plus à faire vivre la tribu des retraités.
Après cette métaphore, sous forme de conte, revenons maintenant à la vraie vie. En ce qui nous concerne, nous pouvons constater que :
– l’espérance de vie augmente environ d’un trimestre par an depuis 1995
– en plus de cela, les générations d’après-guerre viennent amplifier la population des retraités
– depuis 2008, l’espérance de vie en bonne santé diminue. Les frais médicaux sont donc plus importants.
Néanmoins, comme dans le conte, il nous faut financer nos retraités.
Financement des retraites : « droit au but direct dans le mur … “
… si l’on ne fait rien !
Nul n’est besoin de préciser que l’équation économique pour parvenir à financer les pensions de nos retraités est désormais devenue insoluble si l’on s’en tient aux hypothèses actuelles et au système classique par répartition, complètement essoufflé et à l’agonie.
Il faut donc envisager, très rapidement, de nouvelles solutions. Pour cela le COR (Comité d’Orientation des Retraites) publie régulièrement des rapports témoignant de la gravité de la situation et le rapport Moreau vient d’essayer de nous donner des pistes pour résoudre en partie l’équation économique.
Quatre leviers possibles :
1. Augmenter la durée de cotisation des actifs
2. Augmenter les montants des cotisations des actifs
3. Faire contribuer les retraités
4. Revoir le mode de calcul des pensions des fonctionnaires
Et quel que soit le levier actionné, on se doute bien que les réformes ne se feront pas sans douleur.
Face à ce tableau peu glorieux, la question qui doit vous venir normalement à l’esprit est :
« A quoi aurais-je droit quand ce sera mon tour d’être à la retraite ? “.
Il serait simple de donner un chiffre commun à tout le monde. Mais il se trouve que notre système de répartition n’est pas trivial et repose sur une somme de régimes particuliers.
Nous ne nous attarderons pas sur les spécificités dont nous avons tous entendu parler mais retenons très schématiquement pour avoir un aperçu sur une personne de 30 ans :
– artisan : entre 15 et 20 % du dernier salaire
– cadre du privé : entre 40 et 45 % du dernier salaire
– ouvrier SNCF : entre 75 et 80 % du dernier salaire
Ces chiffres reposent sur des hypothèses de chômage, de croissance à l’horizon 2030 qualifiées d’optimistes.
Il est donc vital de penser à compléter sa pension de retraite par répartition par un complément de retraite obtenu par capitalisation.
Et là-dessus, nous avons un grand secret à vous dévoiler : vous ne devez compter que sur vous-même !
Objectif : maintenir son niveau de vie à l’heure de la retraite
Après la phase « dépressive » vient la phase d’appropriation et la volonté de passer à l’action. L’objectif est donc d’être en mesure de compenser la perte de salaire une fois parvenu à l’heure de la retraite.
Exemple: si votre salaire est de 5000 €/mois en fin de carrière, la pension sera pour un cadre du privé de l’ordre de 2000€. Nous chercherons donc à mettre en place un mécanisme permettant d’obtenir une rente d’environ 3000 €.
Pour parvenir à ce résultat en utilisant le levier de l’épargne, il faudra avoir la possibilité d’économiser et s’y prendre très tôt. En effet, dans ce domaine, il faut bien retenir que le temps perdu ne se rattrape jamais.
Laissez-nous vous illustrer cette affirmation par un exemple concret : prenons, par exemple, deux personnes qui vont épargner, mais de manière complètement différente.
- D’un côté, Monsieur Précoce qui arrive sur le marché du travail à 23 ans et qui dès le début de sa vie active s’applique à épargner 200€ par mois quoiqu’il arrive, soit un total de 2400€/an.
Il s’attache à cette pratique jusqu’à l’âge de 38 ans date à partir de laquelle, pour des raisons personnelles, il ne peut plus épargner.
- D’un autre côté, Monsieur Tardif, qui lui aussi sort de l’école à 23 ans, profite de la vie jusqu’à ses 35 ans et décide alors de mettre 200€ de côté par mois, comme Monsieur Précoce.
Considérons maintenant que ces épargnes sont placées sur un support à 4% de rendement, ce qui n’est pas négligeable, mais réaliste, avec des placements bien choisis. A votre avis, qui aura le plus de ressources au moment de la retraite ?
La réponse vous paraît sans doute évidente, puisqu’une personne a épargné 15 ans et une autre a épargné 30 ans. Nous vous laissons donc découvrir le graphe qui suit :
Il apparaît de manière flagrante sur ce graphique que contrairement à ce que l’on aurait pu croire, monsieur Précoce conserve une petite longueur d’avance en terme d’épargne au moment de la retraite. Si d’aventure, ils peuvent prendre leur retraite un peu plus tôt cet écart est encore plus marqué.
Ce graphe illustre donc bien le fait qu’en terme d’épargne, le temps perdu ne se rattrape jamais ou alors très difficilement. En effet, bien qu’il n’ait économisé que 15 ans M. Précoce possède bien l’épargne la plus élevée au moment de la retraite. [Michael : c’est un argument clé du livre Devenez Riche : commencez tôt est capital]
Nous vous laissons imaginer le niveau de son épargne si celui-ci avait pu continuer d’épargner 200 euros par mois jusqu’à sa retraite !
Cela signifie donc que si vous avez déjà de l’argent, l’épargne peut être intéressante si elle est garantie et si le taux d’intérêt est assez élevé. En revanche, si vous n’avez pas de « mise de départ » l’épargne n’est pas très rentable à court ou moyen terme.
Quoi qu’il en soit, plus tôt l’on s’y prend, mieux c’est !
Mais qu’en est-il si l’on ne peut pas ou ne veut pas mettre 200€ par mois et que l’on ne dispose pas de mise de départ suffisamment conséquente ? Existe-t-il une solution pour parvenir à se dégager un complément de revenu à l’heure de la retraite (sous forme de rente ou de cash disponible) ?
Comment s’assurer de préserver son niveau de vie à l’heure de la retraite sans effort et sans apport ?
Après avoir longuement cherché la réponse à cette question, au travers de différentes expériences et différents supports (épargne, assurance vie, bourse, super livret, immobilier, …), nous sommes arrivés à la conclusion que le meilleur support dans ce cas était l’immobilier. Mais attention, dans le contexte actuel, il est fondamental de s’attacher à trouver des biens générant une rentabilité brute de l’ordre de 10%. Afin que :
– les loyers paient les mensualités (autofinancement)
– l’on puisse absorber une partie des vacances locatives, de la fiscalité et de certaines charges.
Avec un peu de patience, de la méthodologie et du travail, c’est tout à fait possible.
Mais ce n’est pas tout. Comme vous le savez, il existe une multitude de formes d’investissements immobiliers et chacun d’entre eux a ses avantages et ses inconvénients.
Nous pouvons citer comme exemple d’investissements immobiliers :
– le locatif résidentiel nu dans l’ancien
– la location saisonnière
– La location de meublé
– l’achat-revente
– la location de garages et de parking
– l’investissement dans le viager
– la location de locaux commerciaux
– la location dans la pierre papier
– le locatif résidentiel nu dans le neuf (Duflot)
– la location dans les résidences de service (tourisme, EHPAD, étudiant, affaires, …).
– …
Le choix que vous adopterez dépendra de votre profil d’investisseur.
Les trois formes d’immobiliers que nous considérons comme les plus rentables et dans lesquelles nous priorisons nos investissements sont :
– l’achat – revente : surtout dans le cas de sa propre résidence principale (ce qui permet au passage de s’affranchir de la plus-value sur la revente).
– la location de meublé en statut de LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel), pour sa fiscalité avantageuse.
– la location de bien commerciaux (notamment pour la protection et la stabilité que peut apporter le bail et pour sa rentabilité).
Pour synthétiser, il est incontestable que nous sommes face à un sérieux problème de financement des retraites par répartition. Par ailleurs, il ne faut rien attendre de réellement concret de la part des pouvoirs publics pour nous apporter des solutions. Les gouvernements se succèdent, mais pas les solutions ! Il est donc du ressort de chacun de se prendre en main pour se constituer une retraite par capitalisation.
De notre côté, nous avons choisi de nous appuyer sur l’immobilier afin de pouvoir investir sans apport et sans effort, tout en sélectionnant des formes d’immobiliers moins conventionnelles. Il vous appartient maintenant de passer à l’action et de vous investir dans la construction de votre retraite, dès que possible !
Alexandre Bruney et Gaëtan Lefebvre du blog www.construire-sa-retraite.com
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Commentaires 25
Est ce que les gouvernements veulent vraiment une solution, ou la destruction d’un système ?
Author
En quoi la réponse compte ? Ce qui est important, c’est ce que VOUS voulez.
Le graphique me rappelle celui de mon livre… Sinon je ne suis pas tout à fait d’accord avec l’article. Prenons le cadre qui gagne 5000€ avant et passe à un retraite de 2000.
Pour se préparer une retraite, le cadre aura mis disons 1000€ de côté durant sa carrière pour développer son épargne. Habitué à vivre avec 4 000€, il ne faudra donc pas compléter la retraite de 3 000 mais de 2 0000.
Second point: Etant retraité, le cadre aura plus de temps de cuisiner, moins de frais professionnels… Et comme il gagne moins, il aura besoin de moins d’impôts. Par ailleurs, il aura sans doute remboursé sa maison depuis belle lurette… Donc au final, peut-être n’a t-il pas besoin de 4 000 mais 3 000 pour vivre.
Enfin, le cadre peut apprendre à développer des compétences manuelles (faire la vidange soi même) pour limiter ses dépenses, continuer une petite activité d’indépendant ou encore émigrer dans un pays où le coût de la vie est moins chère.
Bref, les solutions sont multiples pour préparer sa retraite…
Certes la retraite laisse plus de temps pour cuisiner et apprendre à vidanger sa voiture, mais elle laisse aussi plus de temps pour voyager et se divertir, ce qui peut vite devenir onéreux et doit être pris en compte dans le calcul.
Certes, mais libre a chacun de continuer une petite activité ou de vivre dans un pays émergent ou de voyager dans les pays émergent. Dans mon exemple avec 3000€, non seulement tu aura de quoi voyager en Asie mais tu auras encore du rab a la fin de chaque mois…
Effectivement vous pouvez avoir envie de cette vie là quoique bien malin est celui qui sait quelle sera sa situation au moment de la retraite. Le goût des voyages type routard a tendance à disparaître avec l’âge.
Attention aussi, tout de même à prévoir ce fameux 4ème age où nous connaissons des personnes en situation particulièrement délicate avec des loyers de maisons de retraite a 3000€ par mois.
Nul ne peut prévoir l’évolution du monde a long terme (cout de la vie, géopolitique, prix des voyages) mais avec 3000 euros par mois de budget, tu n’es pas routard en Asie très loin de la.
Pour les maisons de retraites, existe t il des assurances pour les payer? Existe t-ils des maisons de retraites mois chères dans d’autres pays? A bientôt
Author
Je pense que l’éléphant dans la pièce c’est si oui ou non chacun se voit s’expatrier définitivement. Cela change alors la donne.
Merci pour cet article avec lequel je suis bien d’accord, car j’ai également la même ambition que vous, c’est à dire préparer ma retraite avec des investissements locatifs que j’acheterai dans l’ancien et que je vais retaper moi-même.
je ne vais pas attendre l’état pour me donner un salaire qui me conviendra dans mes vieux jours.
J’ai également pratiqué 2 fois l’achat revente de ma résidence principale qui m’ont permis de dégager des plus values non négligeables afin d’acheter de plus en plus grand (de très belles années entre 2000 et 2012).
La retraite ça se prépare maintenant de plus en plus jeune !
Bien en phase avec vous !
Je n’ai pas retrouvé les chiffres mais le système des retraites est basé sur un rapport actif/retraité qui a diminué énormément durant les dernières décennies. Aujourd’hui ce n’est plus tenable et les gouvernements successifs ne font que repousser l’échéance.
Si l’on veut éviter d’avoir une retraite de 10% il faut la préparer soi même.
Grâce à certains blogs comme celui de Michael j’ai rapidement trouvé des solutions pour me débrouiller tout seul. Si l’état me donne quelque chose, tant mieux, sinon j’aurai prévu.
Je vous encourage à continuer votre blog, le net a besoin de communiquer sur ce sujet là pour qu’un maximum de personnes se prennent en main
Bonjour Sylvain,
Merci pour votre message.
La réponse à votre question se trouve page 25 de ce document :
http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1709.pdf
Alexandre Bruney et Gaëtan Lefebvre
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Il vaut mieux partir du principe que nous ne toucherons rien et nous préparer au pire tout en jouant le jeu.
Si on touche, ce sera toujours ça de gagné et si on n’a rien, au moins, on ne sera pas déçu et on aura prévu le coup.
L’immobilier est certes une bonne option pour préparer sa retraite mais elle n’est pas accessible à tout le monde. Même si elle est accessible à plus de personnes qu’on pourrait le croire.
Par ailleurs, la réalité c’est qu’on ne sait pas vraiment ce qu’on aura ou pas, et chaque situation est différente selon l’endroit où l’on vit, sa situation familiale, la manière dont a choisi de vivre.
Je rejoins Martin, les solutions sont multiples.
Préparons-nous, faisons-nous plaisir, Vivons, apprenons à faire confiance et à nous entraider.
Bonjour Alexandra,
Effectivement, il faut faire des hypothèses. N’hésitez pas à parcouir le 8ème rapport du COR ou les suivants.
http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1709.pdf
Personnellement, nous pensons que la situation est sans issue et que chacun doit absolument se prendre en main.
Cela dit, il faut bien reconnaître que si tout le monde se met à acheter de l’immobilier pour le louer, il va y avoir un problème. Donc les solutions sont multiples : c’est tant mieux !
La problématique des cadres est assez complexe mais je suis plus pour dire que chacun vit avec ce qu’il a. Parmi les propriétaires de leur RP, je ne suis pas certains que les cadres de contente de moins pour ne pas s’endetter de trop; je pense qu’il sont comme la masse, proche des 33%.
Dans mon cas, les mois suivant le premier salaire de mon épouse, on se sentait tres riche… Maintenant nos charges sont à la mesure de nos salaires et il ne reste pas à la fin de chaque mois l’équivalent de son salaire…
En résumé, on ne peut compter que sur soi-même! Je suis biend’accord avec votre affirmation. Le temps de l’état providence est révolu. Les corporations se désengagent de leur responsabilités sociales mais ne se gênent pas de s’approprier tous les profits… Peut-être est-il temps de revoir tout le modèle! Vaut-il encore la peine d’être salarié pour une corporation dans le monde actuel? Je crois que c’est une question qu’il faut se poser! C’est le sujet d’un autre débat, mais chose certaine, aucune corporation ni aucun gouvernement ne voudra s’approprier la responsabilité de votre avenir financier et de votre retraite. Ce temps est révolu. Cherchez des sources de revenus passifs et mettez-y du temps! L’épargne et l’immobilier ont fait leurs preuves. Elles ne sont pas à négliger. Mais, les rendements ne sont plus ce qu’ils étaient et sont hautement tributaires des décisions gouvernementales en matière d’économie. Au Canada par exemple, le gouvernement s’immisce grandement dans le contrôle du marché immobilier et ça a un impact important sur la valeur et le rendement des placements. La propriété intellectuelle est une autre possibilité intéressante… Avec la popularité d’internet, elle a la cote. Peut-être démarrer une mini-entreprise en à-côté et la faire évoluer jusqu’à ce qu’elle devienne une occupation à temps plein serait-elle aussi une idée à envisager. Vous aurez un contrôle plus grand sur la répartition des profits et l’entreprise pourra éventuellement être vendue! Merci pour votre article.
Merci pour votre message. Nous sommes bien phase avec votre vision et les questions que vous posez.
« Comment faisait la tribu des retraités pour survivre ? En réalité, un prélèvement obligatoire (plus ou moins important selon la typologie de l’actif) était réalisé sur le salaire des actifs » : Cela ne devrait pas poser problèmes à quiconque car personne ne peut échapper à la retraite (même les actifs) toutefois avec la crise c’est très normal que l’on se plaigne…
De vives informations et très bon à savoir comme article. Il est temps que les actifs s’y mettent et entrent en action pour assurer leur retraite !
Merci !
Effectivement n’attendons pas. Nous avons choisi l’immobilier mais manifestement, il n’y a pas que cela !
Bonjour,
y a-t-il vraiment eu un état providence ou n’était-ce qu’un leurre au sortir de la guerre pour reconstruire le pays au plus vite?
… ou alors, pas longtemps, parce que l’on manquait de main d’oeuvre et que l’on a fait plein d’enfants.
Pour l’immobilier, je le regarde de près parce que ça marche pour pas mal de monde. Je trouve TRES difficile de trouver un bien qui s’auto-finance sans apport financier, mais je continue de chercher 🙂
En ce moment, je regarde plutôt une autre équation: la création d’entreprise et d’emplois.
Si ça marche (et je vais m’atteler à le prouver en réussissant mon coup), le levier devrait être bien plus important.
Bonsoir,
Effectivement, trouver un bien classique qui s’autofinance n’est pas évident mais si vous suivez les pistes que nous proposons dans l’article, vous constaterez que l’autofinancement est beaucoup facilement accessible.
Quant à la création d’entreprise, nous sommes assez en phase avec vous. Cela est d’ailleurs tout à fait logique car cette activité est plus risquée, et le risque paye. Cela est cependant à pondérer selon le secteur d’activité visé.
A relire les commentaires je me rends compte qu’on occulte un point important dans tout ca; reprenons juste les 2 premiers: “destruction du systeme” et “ce que l’on veut”; oui MAIS au passage que l’on est qqchose ou pas, on aura cotisé! Du coup, si on n’a rien, l’injustice est flagrande! Donc faire sa retraite, oui, la faire 2 fois, non.
De plus, je suis assez virulent avec certains de mes collegues plus anciens qui me titillent. Leur retraite devraient deja etre prete car qd je prends l’exemple de mes parents (encore actif pour une paire d’années), ils ont pu s’acheter une maison bien mieux que la mienne avec un nivau de vie beaucoup plus bas…
Author
Il est difficile de savoir ce qu’il restera des cotisations faites aujourd’hui, il est assez probable que tu reçoives malgré tout un petite partie de ton effort. La question restant évidemment laquelle ?
Trop de gens commencent à se soucier bien trop tardivement de leur retraite, ils attendent souvent la quarantaine voire la cinquantaine pour y réfléchir, il faut agir au plus vite pour éviter tous ces soucis !