Est-ce le bon moment pour investir en bourse ?

“Michael, à ton avis, est-ce le bon moment pour investir en bourse ?”. Voici une question que vous me posez régulièrement, qui revient sur les réseaux sociaux et que même les membres de ma formation se posent lorsqu’ils viennent tout juste de rejoindre le programme.

Parfois, c’est une question alternative : “est-ce le bon moment de rentrer en bourse ou est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux attendre.”

Alors justement, attendre. Oui, mais quoi ?

Parce que dans l’inconscient, on s’imagine prendre tout son patrimoine et tout mettre d’un coup. Mais cela n’arrive évidemment jamais dans la vraie vie.

C’est normal de se poser cette question quand on démarre, parce qu’on ne veut pas se rater, par exemple en plaçant son capital lorsque le marché est au plus haut, juste avant qu’il ne s’effondre. Ou en investissant à un moment de grande incertitude.

Ce doute est humain. Car psychologiquement, on a peur de prendre la mauvaise décision et de s’exposer au regret. On se dit qu’on va plutôt attendre que les conditions optimales soient réunies, quitte à procrastiner.

Mais ce que cette question révèle, c’est aussi une connaissance et une vision limitées de l’investissement en bourse.

Dans cet article, je vous donne donc ma réponse, chiffres à l’appui ! Et vous découvrirez, ou redécouvrirez, une approche pour investir en bourse sans vous soucier de savoir si c’est le bon moment ou pas.

Je vous montre aussi comment les crises de 2009 et 2020 ont affecté un portefeuille type à moyen-long terme. Vous verrez qu’il n’y a pas de quoi attendre.

Buy the dip vs. Dollar cost averaging

Attendre le bon moment pour investir en bourse ou investir régulièrement ?

Quand vous vous demandez si c’est le bon moment pour acheter, vous êtes dans une démarche de timing de marché. C’est-à-dire qu’idéalement, vous voulez acheter au moment où la bourse est au plus bas, juste avant qu’elle n’amorce sa remontée vers un nouveau pic.

Bon moment pour investir en bourse : quand la bourse est au plus bas, ou buy the dip

Rétrospective : quand investir en bourse pour faire du timing de marché et buy the dip ? Source : OfDollarsandData.com

 

En anglais, c’est ce qu’on appelle “buy the dip”. C’est une approche qui demande une certaine implication en temps et énergie. En effet, vous devez suivre les marchés et être prêt à sauter sur l’occasion.

À l’opposé de cette approche, on trouve le dollar cost averaging (DCA), qui consiste à réaliser des investissements périodiques sans se soucier de la conjoncture. C’est une approche passive qui ne vous demandera que quelques minutes par mois. C’est de l’investissement programmé.

Y a-t-il des différences significatives entre les résultats obtenus avec l’une et l’autre méthode ?

Les études qui ont été réalisées sur la question ne manquent pas. Celle de Nick Maggiulli, par exemple, montre que, sur n’importe quelle période de 40 ans depuis 1922, l’approche des investissements périodiques a mieux performé que celle du “buy the dip” dans 70 % des cas.

Et ça, c’est dans le cas irréaliste où vous seriez capable de déterminer avec exactitude le moment de plancher absolu du marché. Car si vous vous trompez ne serait-ce que de deux mois dans votre estimation, l’approche des investissements périodiques performe mieux dans 97 % des cas.

Alors bien sûr, on parle ici d’une période de 40 ans et vous vous dites peut-être “Michaël, tu es gentil mais je n’ai pas 40 ans devant moi. Qu’est-ce qu’il se passe sur une période plus courte ?”

En 2012, une étude de Vanguard a comparé les deux approches entre 1926 et 2011 sur des périodes de 10 ans. Elle a montré que timer le marché aurait été gagnant les deux tiers du temps, mais que la différence n’aurait été que de 2.3 %. Ce n’est pas énorme.

Vous voyez donc que l’investissement régulier a peu, voire rien à envier à l’autre approche tant que vous investissez sur le long terme. Et le fait que ce soit passif et systématique est un gros avantage à mes yeux. Ça vous fait gagner du temps et ça vous évite de tomber dans la procrastination et de ne rien faire du tout.

Parce que le problème si vous attendez, c’est que vous pouvez attendre longtemps. Très longtemps. Très très longtemps. En fait, il y en a qui attendent toujours pour investir.

Un horizon long terme neutralise les risques de perte

Un autre aspect de la question “Est-ce que c’est le bon moment pour investir en bourse ?”, c’est la crainte d’investir quand c’est trop haut et donc de risquer des pertes importantes.

Quand on regarde les rendements historiques du S&P500, le rendement annualisé avec dividendes réinvestis n’a jamais été négatif sur une période de 20 ans, quelle qu’elle soit.

Qu’est-ce que ça veut dire ?

Regardez l’image précédente, si vous aviez investi lors du pic des années 2000, la valeur de votre portefeuille aurait presque doublé aujourd’hui.

Autrement dit, même si vous aviez investi tout votre argent au moment d’un pic, juste avant que la bourse ne s’effondre, et que vous n’aviez plus jamais investi ensuite, votre investissement initial vous aurez quand même rapporté de l’argent, par le simple fait d’avoir conservé ces titres suffisamment longtemps (20 ans dans cet exemple).

En somme, si vous investissez à long terme, votre risque de perdre de l’argent est très faible. Donc plutôt que d’attendre le moment idéal, que vous ne repérerez peut-être même pas, vous pouvez au contraire passer à l’action dès maintenant pour créer votre portefeuille à horizon long terme. Il vous suffit de mettre en place votre système d’investissement mensuel et de l’appliquer mois après mois, tout simplement.

Vous voyez que le mot clé ici, c’est long terme. Si vous investissez en bourse avec un horizon moyen terme, c’est-à-dire 5 ans, c’est différent.

Parce que dans ce cas, vous prévoyez de vendre à une date donnée. Et si jamais on est dans le creux du marché, votre capital aura perdu de sa valeur. Ce n’est donc pas une bonne idée d’investir à court terme selon moi. Je préfère des projets de crowdlending à 10% comme je l’explique dans ma formation Solution 10% – Investir sans la bourse.

5 conseils pour mettre en place votre portefeuille à horizon long terme

Voyons maintenant comment mettre en place votre portefeuille. En synthèse, il vous faut trois choses :

1- Un courtier auprès duquel ouvrir un compte-titres et passer des ordres. 

2- Un PEA : c’est facultatif, mais autant profiter des avantages fiscaux qu’il offre.

3- Un système.

Alors comment définir ce système pour gagner de l’argent en bourse pratiquement à coup sûr ? C’est ce que je vais vous expliquer maintenant.

Premier conseil : Investissez uniquement l’argent que vous pouvez perdre

On a vu précédemment que le risque était faible à long terme mais, malgré tout, le risque 0 n’existe pas.

Même en mettant votre ceinture de sécurité, en respectant les limitations de vitesse et en ne téléphonant pas au volant, il y a toujours un risque de croiser un danger public.

L’idée, c’est donc de mettre tous les mois de côté un montant, que vous allez déterminer en fonction de votre budget et de votre situation. Et c’est ce montant que vous allez investir en bourse.

D’ailleurs si vous voulez faire la detox de vos finances, je vous renvoie vers ma formation Je prends mon argent en main où je vous guide pour faire le point et optimiser tout ça.

Il faut donc que ce soit une somme dont vous n’avez pas besoin pour vos dépenses courantes ni pour votre épargne. Comme ça, dans le pire des cas, si cette somme venait à être complètement perdue, ça n’aurait aucune incidence sur votre quotidien.

Je vous recommande de vous constituer une épargne de précaution avant de vous lancer dans l’investissement. Mettez progressivement de côté l’équivalent de 3 à 6 mois de dépenses courantes. Comme ça, vous ne vous retrouverez pas à devoir vendre vos investissements (parfois même à perte) en cas d’imprévu.

Une fois que vos finances personnelles sont sous contrôle, vous pouvez utiliser tout surplus pour investir et c’est là que vous pouvez vraiment gagner de l’argent.

Deuxième conseil : Diversifiez vos investissements

C’est l’adage traditionnel “Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier”. Ne soyez pas dépendant d’une catégorie d’actifs ou d’un secteur. Vous éviterez ainsi de paniquer si vous perdez de trop grosses sommes d’un coup.

Plus vous diversifiez vos investissements, plus vous réduisez la volatilité et le risque.

Personnellement, j’ai 40% de mon patrimoine en immobilier, 30% en bourse, 10 % en crypto, 5 % en métaux précieux, 15 % en cash.

Si l’un de ces marchés venait à s’effondrer, les autres compenseraient les pertes. Et dans tous les cas, j’aurais encore 15% de cash disponible pour investir quand les marchés sont au plus bas et faire une plus-value derrière.

Troisième conseil : Mettez en place une allocation d’actifs

Une allocation d’actifs, c’est tout simplement la composition de votre portefeuille. Parce qu’on fait parfois l’amalgame entre la bourse et le marché des actions. Mais les actions ne sont qu’une classe d’actifs parmi d’autres, comme les obligations, l’immobilier et les métaux précieux, etc.

Mettre en place une allocation d’actifs, c’est répartir votre portefeuille entre différentes classes d’actifs mais aussi différentes zones géographiques, différents secteurs et différentes devises. C’est toujours cette idée de diversification.

En fonction de votre personnalité d’investisseur et de vos objectifs, vous allez opter pour une allocation d’actifs plus ou moins agressive ou défensive.

Évidemment, tout ce que je suis en train d’évoquer ici en quelques minutes, je l’explique en détail dans ma formation Portefeuille Liberté Financière. Je vous y partage notamment des modèles tout prêts de portefeuilles qui ont fait leurs preuves. Et on regarde ensemble la performance de différentes allocations d’actifs pour que vous puissiez choisir ce qui vous correspond le mieux. Si vous voulez vous lancer dans les meilleures conditions, je serai heureux de vous retrouver au sein de la formation.

Quatrième conseil : Plutôt que d’attendre le bon moment pour investir en bourse, investissez systématiquement tous les mois

N’attendez pas le bon moment pour investir en bourse

Quand les marchés sont en baisse et que les “experts” affirment que c’est le début de la fin, on peut être tenté d’attendre un peu plus afin d’acheter moins cher. Mais ce n’est pas facile de battre le marché, d’autant plus quand les fluctuations sont importantes d’un jour à l’autre.

En investissant systématiquement tous les mois, il y aura des fois où vous achèterez plus cher que si vous aviez attendu un peu. Mais ce sera compensé par d’autres fois où vous achèterez juste avant une reprise. Et sur la durée, ça ne changera probablement pas grand-chose à la performance de votre portefeuille, comme on l’a vu au début de l’article.

Et vous pouvez même avoir du cash de côté pour surinvestir après une baisse. Si vous aviez 10.000 € de côté à investir en avril 2020, vous avez fait l’affaire du siècle. Bon, pas tout à fait, car ce genre de krach arrive statistiquement tous les 8 à 10 ans. Et même si le passé ne prédit pas l’avenir, on peut dire en tout cas que c’est régulier. Donc soyez prêt.

Les krachs boursiers de 1987 à 2019 : quand fallait-il investir en bourse ?

Les krachs boursiers reviennent régulièrement. Soyez prêts à investir en bourse !

Ne vendez pas sous l’effet de la panique

Inversement, vous pourriez aussi être tenté de vendre pour limiter vos pertes, en cas de krach notamment. Mais attention, ne vendez jamais sous l’effet de la panique, qui est très mauvaise conseillère.

Il y a des cas où ça peut être justifié de vendre. Mais de manière générale, vous investissez sur le long terme avec l’idée de conserver vos titres. Donc ne cédez ni à l’euphorie, ni à la panique.

Et le mieux pour cela, c’est de définir votre allocation d’actifs et de vous y tenir, tout simplement.

Cinquième conseil : Utilisez les ETF et les actions à dividendes

Les ETF offrent rendement et sécurité

Si vous ne savez pas ce que sont les ETF, j’explique ici tout ce que vous devez savoir sur les ETF pour commencer à les utiliser.

Mais en synthèse, un ETF c’est un indice qui réplique le plus fidèlement possible la performance des actifs qu’il contient. Par exemple, un ETF CAC40 va répliquer la performance du CAC40.

Donc, dans une approche passive, les ETF vous permettent en quelque sorte d’investir dans plusieurs entreprises en ne passant qu’un seul ordre. C’est beaucoup plus simple et gérable d’investir dans un ETF plutôt que de vous casser la tête à analyser et sélectionner des titres individuels.

Et de plus, c’est un formidable outil de diversification. Vous avez des ETF sur à peu près tout : des ETF qui répliquent la performance de l’or, celle des marchés émergents, celle d’un secteur en particulier, etc.

On dit des ETF qu’ils offrent le meilleur compromis rendement/sécurité.

Et ce n’est d’ailleurs pas pour rien que le milliardaire américain Warren Buffet a conseillé à sa femme de placer 90 % de l’argent qu’elle recevra en héritage sur un ETF du S&P500 !

La puissance des intérêts composés

Ensuite, vous pouvez bien sûr compléter votre portefeuille avec des titres individuels, et notamment des actions qui versent des dividendes.

Si vous voulez apprendre à sélectionner ces titres, j’ai un guide que vous pouvez récupérer gratuitement ci-dessous.

Ou sinon, vous avez mon club Vie Riche et Revenus Passifs, où je vous partage les opportunités du moment.

Ce qui fait tout l’intérêt des actions et des ETF à dividendes, c’est la puissance des intérêts composés si vous réinvestissez ces dividendes.

Je vous montre un exemple.

La puissance des intérêts composés quand on investit régulièrement en bourse

Le bon moment pour investir en bourse, c’est régulièrement !

À gauche, vous avez Paul, qui a investi 30.000 € d’un coup et n’a plus jamais rien placé en bourse ensuite. Il a fait cela à 45 ans. À l’aube de la retraite, 15 ans plus tard, la valeur totale de son capital est de 82.770 €. Pour 30.000 € de placés avec dividendes réinvestis, il a généré 52.770 € supplémentaires.

À droite, vous avez Louis, qui a commencé à investir en bourse à l’âge de 25 ans en plaçant systématiquement 100 € chaque mois. 35 ans plus tard, à l’aube de la retraite, la valeur totale de son capital est de 172.209 €. À raison de 100 € par mois pendant 35 ans, Louis a placé 42.000 €. Et pour 42.000 € de placés avec dividendes réinvestis, il a généré 130.109 € supplémentaires.

C’est l’effet boule de neige des intérêts composés : 52.770 € contre 130.109 €. Vous voyez qu’en investissant régulièrement, Louis a généré des intérêts presque deux fois et demie supérieurs à ceux de Paul.

Ça fait une sacrée différence entre quelqu’un qui a voulu attendre le bon moment et quelqu’un qui a agi au lieu d’attendre.

Un exemple de portefeuille

Pour terminer, et parce que je sais qu’un exemple est toujours plus parlant, je vais vous montrer un portefeuille et son comportement pendant les différentes crises que nous avons traversées. Vous verrez aussi l’effet boule de neige d’avoir investi régulièrement sur de longues années.

Pour cet exemple, on va prendre une allocation d’actifs très classique, qui s’appelle le 60-40. C’est-à-dire qu’on a 60 % d’actions et 60 % d’obligations. On a commencé en 1986, on a mis 10.000 dollars (ou euros, peu importe la devise ici) au départ. Regardons comment tout ça se comporte.

Faut-il vraiment choisir le bon moment pour investir en bourse ?

Qu’est-ce qu’on voit ?

Allocation d'actifs 60-40 à travers les crises

Comportement d’un portefeuille 60 % actions et 40 % obligations avec versement initial de 10.000 € entre 1986 et 2021.

Au moment de la crise des années 2000, on constate qu’au point le plus haut, le portefeuille valait 31.000 €. Au point le plus bas un an et demi plus tard, il valait 26.000 €. Donc il a perdu un peu. Mais après on s’est récupéré.

On est arrivé jusqu’en 2008-2009, lorsqu’il y a eu la crise des subprimes. Au point le plus haut, le portefeuille valait 38.000 €. Au point le plus bas, il est tombé à 25.000 €. C’est une perte significative.

Mais, encore une fois, si on continue d’investir sans se soucier de tout cela, on voit que ce portefeuille progresse et continue de progresser énormément.

On arrive en 2020 : il vaut 72.000 €. Avec le krach, il tombe à 63.000 €.

Aujourd’hui, on est à 86.000 €. C’est le point le plus haut.

C’est un portefeuille qui est très exposé actions, donc qui est très risqué. Malgré ça, on a traversé les crises en restant investi. Et on a une performance qui est quand même incroyable dans tous les cas. Pour 10.000 € de placés en 1986, on a aujourd’hui un portefeuille qui vaut près de 90.000 €.

Voilà la performance qu’on peut obtenir avec un portefeuille type. Celui-ci s’est bien comporté dans toutes les phases. Ceci n’est qu’un exemple, mais c’est pour vous montrer comment ça fonctionne.

Récapitulatif : est-ce le bon moment pour investir en bourse ?

Alors en résumé : est-ce le bon moment pour investir en bourse ? La réponse est oui, pourvu que vous ayez une approche long terme. Pourquoi ?

  • Parce que si vous investissez à long terme, le risque de perdre de l’argent est très faible. Même si vous investissiez au plus haut avant une forte baisse durable, au bout de 20 ans (voire sur une période plus courte), vous en ressortiriez quand même gagnant.
  • Parce qu’en diversifiant vos investissements, en mettant en place une allocation d’actifs et en utilisant les bons supports, vous allez encore plus réduire le risque et optimiser le rendement.
  • Parce qu’il est difficile de timer le marché : cela demande d’y consacrer du temps et d’avoir des compétences particulières. Sans compter qu’une approche passive régulière obtient des résultats comparables.
  • Et parce que plus tôt vous commencerez, plus vous générerez d’intérêts composés. Le temps est votre allié et attendre le bon moment, c’est perdre un temps précieux.

C’est important de le comprendre. C’est important que l’éducation financière fasse partie de votre projet. En tout cas, c‘est ma mission de passer les bons messages et de vous expliquer comment, en investissant même simplement et peu d’argent, vous pouvez générer un capital intéressant sur le long terme.

Regardez la vidéo et dites-moi ce que vous en pensez !

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Commentaires 4

  1. Bonjour,

    L’approche DCA est vraiment celle que je préfère, car elle a en plus l’avantage de neutraliser les émotions et d’éviter de perdre bêtement de l’argent. J’ai une question à ce sujet : Il y a-t-il une différence sur un DCA tous les mois , tous les trimestres ou tous les semestres en termes de rendement sur le long terme ?

    Bonne journée 🙂

    1. Bonjour, ça pourrait être intéressant de faire les simulations et de comparer ! Tous les mois, ça fonctionne bien pour contrebalancer les éventuelles baisses par les hausses et pour prendre les bons automatismes.

  2. Bonjour Michael,

    Merci beaucoup pour votre article de blog qui résume bien tout ce qu’il y a à savoir pour savoir si c’est le bon moment pour investir en bourse ou pas.
    Avec votre article, on voit que le coût de la procrastination et d’attendre le “moment parfait” peut nous coûter très cher sur le long terme !

    Excellente journée !

  3. Bonjour Michael,

    Merci pour ces conseils d’une excellente qualité.
    Je me rends compte qu’au final je risque de perdre plus d’argent à attendre le “bon” moment que d’investir de manière régulière en adoptant une vision “long terme”.
    J’ai pu, cependant, découvrir une méthode qui, basée sur la moyenne mobile à 10 mois permet de savoir quand acheter ou vendre. Il est certain que cela ne s’applique pas sur les actions mais plus sur certains ETF. Même si l’étude montre que sur le long terme les performances sont presque identiques que le “buy and hold” cette méthode réduit considérablement la volatilité et donc certaines émotions quand tout est au plus bas. Je suis en train de la tester et comparerai les performances avec cette étude (en incluant, bien sûr, les frais associés aux achats / ventes de titres).

    Merci,
    Melanie

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