Esprit Riche a lu : The little book of behavioral investing – James Montier

Pourquoi, lorsqu’il s’agit d’investir, nous sommes notre pire ennemi ? Voici toutes les réponses grâce à ce petit livre extraordinaire !

The Little Book of Behavioral Investing: How Not to Be Your Own Worst Enemy” écrit par James Montier propose de faire de vous, pauvre investisseur, votre meilleur allié car la clé de tout investissement, c’est le processus mis en place, pas le résultat. Lorsqu’il s’agit de mettre un processus en place, le cerveau humain est formidablement enclin à se créer des pièges et donc à vous faire perdre de l’argent. Montier est un investisseur dit “value” qui s’intéressent aux qualités intrinsèques des entreprises à la manière d’un Buffett ou d’un Graham.

Pour investir nous devons donc prendre en compte nos 2 cerveaux : le droit et le gauche, le créatif et le rationnel. Le processus logique voudrait que pour investir on examine les différents éléments et que l’on prenne une décision pour ensuite l’appliquer seulement voilà, dans la réalité cela se passe différemment ! Dans le meilleur des cas, nous avons effectivement des critères à suivre, nous arrivons parfois à les appliquer pour sélectionner nos investissements mais nos émotions entrent en jeu et viennent interférer sans cesse lorsqu’il s’agit d’agir.

Si nous pensons donc agir sur la logique, l’expérience prouve que c’est en fait l’émotion qui dirige les décisions. Ceci est particulièrement vrai lorsque :

  • le problème est complexe
  • l’information est incomplète, ambigüe ou changeante
  • les objectifs sont changeants ou concurrents
  • le stress est fort à cause du manque de temps ou d’enjeux importants
  • les décisions reposent sur les interactions avec les autres

Plus que cela, nous sommes mauvais à cause de notre condition de pauvre humain. L’être humain n’est pas bon pour prédire son propre comportement. Si par exemple vous allez aux courses en ayant faim, il est impossible de faire les courses en imaginant l’état de satiété que l’on éprouve après un repas. Cet état de fait doit vous conduire à faire une chose et une seule chose : déterminer vos objectifs, définir un plan et le suivre sans réfléchir dans le feu de l’action. Car le plus mauvais moment pour changer son plan, c’est lorsqu’il faut l’appliquer. Il convient donc de définir à l’avance la liste des valeurs à acheter et les conditions qui nous semblent bonnes pour cela.

Pour ne pas vous faciliter la tâche, les marchés communiquent selon les 3 règles suivantes :

  • Règle N°1 : Toute news est une bonne news. Si l’histoire est négative, cela peut toujours s’améliorer. Autrement dit, si le marché baisse trouvons un moyen d’en faire une bonne nouvelle.
  • Règle N°2 : Tout est toujours abordable quitte à revoir les formules de calcul lorsque ça ne correspond plus à cette règle.
  • Règle N°3 : Les affirmations sont plus fortes que les preuves. Ne laissez jamais un fait détruire une bonne histoire.

L’être humain fuit la douleur et perdre de l’argent est ressenti comme tel. Car une fois la peur dans votre esprit, vous n’êtes plus en mesure de voir si les valeurs sont bons marchés ou non. Pour cette même raison, il ne faut pas prendre de décisions sous la contrainte.

Mais l’être humain est aussi profondément optimiste. Apparemment attribué à notre instinct de survie, nous avons tendance à surestimer nos compétences et notre capacité à contrôler le résultat d’une action. Pensez-vous être un meilleur conducteur que la moyenne des gens ? Pensez-vous être meilleur que la moyenne des gens au lit ? Je parie que vous répondez oui à ces 2 questions !

Nous confondons aussi le hasard et le contrôle. Par exemple, il a été prouvé que les gens sont prêts à payer plus cher un ticket de loterie s’ils peuvent en choisir les numéros. Pourtant tout ceci ne nous rend pas service lorsqu’il s’agit d’investir : nous devenons irrationnel (demandez-vous pourquoi les bulles se forment!). Pour ne pas suivre la foule, cultivez votre scepticisme, n’abandonnez pas trop facilement votre indépendance de jugement. Il est préférable de se demander “Pourquoi dois-je acheter ?” plutôt que “Pourquoi ne pas acheter ?” La différence est subtile mais les conséquences sont énormes.

“Ne demandez pas à votre coiffeur si vous avez besoin d’une coupe”

Warren Buffett

Et ce ne sont pas les experts qui pourront vous sauver. En bref : ils sont nuls lorsqu’il s’agit de prédire l’avenir (incroyable non !). Les experts exploitent un travers humain pour avoir l’air compétent : montrer une énorme confiance en soi, et cela marche. Des études ont montré que plus quelqu’un montrait qu’il avait confiance en lui, plus les gens étaient enclins à l’écouter et même à lui pardonner des résultats inférieurs à la moyenne. (vous savez comment les gourous recrutent dans les sectes ou vendent des produits sur internet 😉 )

La notion d’expert provoque des réactions étranges sur notre cerveau : elle diminue le niveau d’activité dans les zones reconnues pour assurer la mesure de valeur et l’évaluation des probabilités : cela débranche le côté rationnel. Et tout ceci à un lien avec l’image du pouvoir. Vous vous souvenez de l’expérience de Milgram où l’on demandait à des gens d’infliger des chocs électriques à d’autres personnes ? N’imaginez pas être meilleur que cela !

Ainsi, au lieu d’essayer de prédire l’avenir, contentez-vous d’être préparé aux éventualités. Lao Tzu disait “Ceux qui ont la connaissance ne font pas de prédictions” et “Ceux qui font des prédictions n’ont pas de connaissance”. Les prévisions existent pour une seule raison : cela rassure le pékin moyen. Le problème, c’est que personne n’est en mesure de prédire. Les macro-économistes n’ont pas la moindre idée que ce qui se passera (le consensus n’a pas prévu les 4 dernières récessions), les analystes se trompent une fois sur deux (autrement dit, vous obtenez le même résultat en faisant pile ou face).

Les excuses de ceux qui tentent de prédire l’avenir :

  • “Si seulement Trichet avait relevé le taux…”
  • Quelque chose en dehors du modèle a tout changé
  • “Je n’étais pas loin”
  • “Ce que j’ai prédit n’est pas encore arrivé”
  • “Vous ne pouvez pas me juger sur une seule prédiction”

“Le plus grand obstacle à la découverte n’est pas l’ignorance, c’est l’illusion du savoir”

Pire que cela, les experts vous mèneront droit dans le mur. Comme tous les humains, ils pensent que plus ils ont d’informations, plus ils peuvent prendre de meilleures décisions. Ceci est prouvé pour être totalement faux car cela suppose d’être en mesure d’exploiter ces fameuses informations et devinez quoi, avoir 5 informations différentes à manipuler est déjà un challenge, en avoir 20 ou 30 est de la folie : vous êtes aussi performant qu’un analyste qualifié en jouant votre décision à pile ou face.

Jetez votre télévision. Vous savez pourquoi ils mettent des femmes séduisantes et des hommes bien propres sur eux en costard pour présenter les news financières ? Parce qu’ils n’ont rien à dire. L’actualité financière n’est pas différente de l’actualité tout court : c’est un flot continue d’information sans intérêts pour vous. L’être humain adore comprendre et avoir les raisons qui ont causé ceci ou cela même si cela est faux ou banal. Par exemple une étude a montré que si quelqu’un essai de couper une file d’attente, il réussi dans 60% des cas en ne donnant aucune raison mais que cela passe à 90% s’il donne une raison toute simple parce que le mot “car” est prononcé.

Pour autant ne vous coupez pas du monde. Cherchez plutôt ceux qui ne pensent pas comme vous. Au lieu de tomber dans le biais de confirmation qui consiste à ne voir que ce qui va dans votre sens (si vous avez observé quelqu’un justifier l’achat de sa résidence principale, vous savez de quoi je parle), trouvez des contradicteurs et confrontez vos positions.

Il y a 2 grandes catégories de personnes : ceux qui pensent que le marché monte toujours, les “bulls” et ceux qui pensent que le marché va baisser, les “bears”. Aucune de ces 2 catégories ne fait un bon investisseur pour une raison simple : les marchés fluctuent. Parfois, ils montent et parfois ils descendent et ce n’est pas en restant figé sur une position que vous pourrez avoir du succès. Prenez en compte les faits et la réalité et ne tombez pas dans le “La crise ne nous touchera pas”. Nous avons une tendance naturelle à nous accrocher à notre point de vue simplement parce que nous avons investit du temps et de l’énergie à le construire mais pour investir, il va falloir abandonner une opinion qui n’a pas de fondement !

Les bonnes histoires ont le pouvoir de prendre la main sur des faits solides comme le disait Nassim Taleb dans son livre “Le cygne noir” et il faut résister à ce biais. Par exemple une étude a mis en évidence qu’un traitement considéré comme peu efficace était malgré tout choisi s’il était accompagné d’une bonne histoire (78 %) par rapport au fait de l’accompagner d’une histoire négative (7%). C’est pour cette même raison que des patients ont affirmé ressentir moins de douleur avec le cachet à 2,50 $ plutôt qu’avec celui à 0,10 $ alors que le contenu était évidemment identique (ou que l’on trouve meilleur un vin qui coûte cher). Pour éviter de se laisser piéger par les histoires, prenez les faits et seulement les faits.

“Cette fois-ci, c’est différent”. Combien de fois avez-vous entendu cette phrase ? Le “nouveau paradigme” semble séduisant mais vous avez l’avantage sur les professionnels du secteur qui doivent justifier leurs décisions constamment : vous pouvez garder la tête froide. Plus que des événements improbables, nous faisons régulièrement face à des “surprises prévisibles” qui répondent aux critères suivants :

  • quelques personnes informées voient le problème
  • le problème s’aggrave avec le temps
  • il fini par exploser et causer une crise

Rester alerte à ce que nous ne nous attendons pas à voir est la meilleure défense (vous vous souvenez du test où des basketteurs jouent sur un terrain et qu’un singe en costume traverse et que seulement 14 à 17 % des gens le voient ?).

Si les bulles sont si prévisibles, pourquoi n’apprenons nous pas de nos erreurs ? En quelques mots : nous avons la mémoire courte et assez sélective. Pour apprendre de nos erreurs, il faut au moins comprendre que c’en est une alors que le comportement humain type est d’attribuer à nos compétences chaque réussite et à mettre sur le compte de la malchance nos erreurs. Pour détruire ce mécanisme, gardez un journal où vous notez vos réflexions et vos décisions d’investissement. Vous ne pourrez pas vous mentir après coup, mieux vous pourrez savoir si vous aviez raison pour la bonne raison et non pas simplement par hasard.

Bon résultat
Mauvais résultat
Bon raisonnement Compétence (peut-être) Mauvaise chance
Mauvais raisonnement Chance Erreur

Et si dans de nombreux cas il valait mieux ne rien faire ? Surprenant non ? Arrêtons de penser court-terme et laissons du temps au temps. Le problème, c’est qu’en attendant nous avons l’impression de ne rien faire même si les résultats sont meilleurs. Une étude qui a examiné 311 pénaltys montre que le gardien de but aurait mieux fait, en moyenne, de rester immobile alors qu’il saute dans 94 % des cas. Il pourrait améliorer sa performance de 60 % en restant statique !

L’autre approche qui peut vous sauver, c’est de vous méfier des effets de groupe qui tendent à tuer toute réflexion non conforme à la majorité. Résister aux tendances moutonnières est essentiel et cela n’est pas simple car il a été mesuré qu’aller à l’encontre de l’avis majoritaire dans un groupe déclenche les mêmes zones dans le cerveau que celle de la peur et de la douleur. Le rejet social est lourd à porter mais il est impossible d’obtenir de bonnes performances dans ses investissements si l’on se contente de faire comme tout le monde !

Savoir quand vendre est important et nous expose à d’autres vulnérabilités humaines. Nous avons tous tendance à ne pas aimer perdre et dans le feu de l’action, si l’un de nos investissements se porte mal il va nous être difficile de le vendre. La technologie instantanée et la possibilité de suivre les cours de bourse en temps réel n’arrange rien à l’affaire. La raison la plus courante pour laquelle un investisseur s’accroche à son investissement, c’est parce qu’il imagine qu’il va mieux fonctionner dans le futur. Pourtant les comparaisons de performances mettent en évidence que celui qui vend tôt un mauvais investissement obtient de meilleurs résultats. Un autre biais entre en ligne de compte : celui qui fait que lorsque nous possédons quelque chose, nous avons du mal à nous en séparer ou alors à demander un prix irréaliste.

Composition du livre :

Introduction: This Is a Book About You.

Chapter One: In the Heat of the Moment.

Chapter Two: Who’s Afraid of the Big Bad Market?

Chapter Three: Always Look on the Bright Side of Life.

Chapter Four: Why Does Anyone Listen to These Guys?

Chapter Five: The Folly of Forecasting.

Chapter Six: Information Overload.

Chapter Seven: Turn off That Bubblevision!

Chapter Eight: See No Evil, Hear No Evil.

Chapter Nine: In the Land of the Perma-Bear and the Perma-Bull.

Chapter Ten: The Siren Song of Stories.

Chapter Eleven: This Time Is Different.

Chapter Twelve: Right for the Wrong Reason, or Wrong for the Right Reason.

Chapter Thirteen: The Perils of ADHD Investing.

Chapter Fourteen: Inside the Mind of a Lemming.

Chapter Fifteen: You Gotta Know When to Fold Them.

Chapter Sixteen: Process, Process, Process.

Conclusion: The Road to Hell Is Paved with Good Intentions.

Conclusion

Le livre se termine sur un constat : nous sommes tous humains et savoir ce qu’il faut faire ne suffit pas. L’auteur sait qu’il est en surpoids mais ne maigrit pas pour autant. Le savoir ne se traduit pas automatiquement par un comportement. Même dans le cas d’enjeux importants comme le Sida, connaitre les risques ne fait pas changer les comportements. Contentons-nous de nous concentrer sur le processus du mieux possible.

– Définissez un plan et des critères

– Notez vos réflexions et le raisonnement qui mène à vos décisions

– N’écoutez pas les experts

– Soyez patient et détaché

– Débranchez tous les systèmes humains et émotionnels

Un excellent livre sur le sujet qui va droit au but et possède en plus l’avantage d’être plaisant à lire. Si vous investissez sur les marchés, c’est un incontournable.

En savoir plus  : The Little Book of Behavioral Investing: How Not to Be Your Own Worst Enemy

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Commentaires 12

    1. Post
      Author
  1. Je remarque beaucoup d’investisseurs dans des livres ou blogs qui font des analyses générales sans avoir mis les mains dans le cambouis .
    Il est si facile de faire des analyses générales mais quand on est dans l’action je confirme qu’un investissement est autrement différent que théorique. L’aspect humain rentre en ligne de compte…… 😉

  2. Article très intéressant, bravo.

    Dans un livre que j’ai lu intitulé “le génie du stratège” il est mentionné que face à un objectif on a tendance par peur à créer nous même nos propres problèmes pour l’atteindre, et qu’en réalité les véritables barrières sont largement moindres.

    En réalité face à un objectif on a toujours besoin d’être rassuré ce qui nous pousse à inventer pleins d’autres barrières nous amenant ainsi à procrastiner et c’est là comme tu le dénonce que les experts font leur beurre.
    En réalité le rôle d’un expert et ils le savent bien est de nous rassurer ce qui au final va plus nous anesthésier qu’autre chose. J’ai été consultant et je ne comprenais pas pourquoi mon chef pondait des études très complexes, un jour il me l’a avoué : pour faire savant car une fois que le client perd le fil, il fini dépité par tout confier au consultant et à ne prendre aucune décision sans son aval. (le consultant est alors devenu gourou).

    Bref le consulting est un métier qui repose en majorité sur “l’art de rassurer”. Cela dit un expert est toutefois utile face à quelqu’un de lucide qui cherche un raccourci pour gagner du temps (ne pas réinventer la roue) pour atteindre son objectif mais qui n’a pas besoin d’être rassuré, c’est moins rentable pour le consultant (et ce sont les pires clients) mais c’est là que se trouve sa véritable valeur ajoutée. C’est pourquoi j’estime qu’il ne sert à rien de voir un expert quand on ne détient pas au moins 1/3 de la connaissance acquise par nous même à la hache, on fera alors appel à lui pour acquérir les 2/3 restant ou pour déléguer ce que l’on sait faire mais pas le temps. Je comprends mieux pourquoi certains soit disant experts ciblent des débutants comme profils client (avatar …), méfiez vous des experts spécialisés dans les débutants (les naifs comme ils doivent s’amuser à les appeler), les 3/4 que ce qu’ils racontent c’est du vent et des histoires (bien ficelées) et ça vous bloquera plus qu’autre chose, pour apprendre à nager il faut en effet se jeter sur son objectif avec fougue sans perfection ni honte et ne surtout pas suivre quelqu’un dès le départ. (par la suite on peut).

    Enfin pour finir on a tous en réalité au fond de nous conscience des vrais problèmes qui nous bloquent dans notre vie. Au lieu d’établir des introspections complexes, ou aller de suite voir un psy, il suffit en réalité et là je dévoile une petite recette perso, de coucher sur une feuille blanche chaque élément concret que l’on se doit de faire, qui nous emmerde et que l’on n’a pas fait et qui prends moins de quelques minutes à faire. Chaque jour dès le début de matinée, le fait de faire ce geste et de s’en débarrasser nous procure cette même sensation extraordinaire que l’on a quand on commence sa journée par aller aux toilettes et à tirer la chasse d’eau, quel soulagement et plaisir vecteur d’énergie ! J’appelle cela des FIA (fast intuitive actions), ce sont elles qui nous pourrissent la vie et nous démotivent.

    Seule notre intuition est efficace dans l’action car elle est capable d’être connecté simultanément et avec harmonie à notre cerveau et à nos émotions, vous l’avez certainement remarqué on est toujours efficace et gagnant lorsque l’on agit avec notre intuition qu’avec des check-list détaillée connectée à notre cerveau ou a des histoires attirantes mais fumeuses connectées à nos émotions.
    Notre intuition utilise une véritable mémoire flash alors que notre cerveau quand on essaye d’agir est plutôt basé sur un escargot ou un âne qui au beau milieu d’une route qui se sépare en deux ne sait pas dans quelle direction aller et fini par rester immobilisé jusqu’à en crever.

    En conclusion, soyez toujours intuitif dans l’action, et connectez vous moitié/moitié en prenant votre temps à votre cerveau et à ce qui vous fait vibrer/rêver pour déterminer vos véritables objectifs concrets.

  3. Des études ont montré que plus quelqu’un montrait qu’il avait confiance en lui, plus les gens étaient enclins à l’écouter et même à lui pardonner des résultats inférieurs à la moyenne. (vous savez comment les gourous recrutent dans les sectes ou vendent des produits sur internet 😉 )

    Alors pourquoi encourager cet escroc de Spike en vantant son “expertise” ? /°

  4. Des études ont montré que plus quelqu’un montrait qu’il avait confiance en lui, plus les gens étaient enclins à l’écouter et même à lui pardonner des résultats inférieurs à la moyenne. (vous savez comment les gourous recrutent dans les sectes ou vendent des produits sur internet 😉 )

    Alors pourquoi encourager cet escroc de Spike en vantant son “expertise” ? 🙂

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