Les problèmes n’existent pas

Un problème, ou ça ?

Vous est-il déjà arrivé d’avoir l’impression d’être face à un problème énorme et d’en parler à quelqu’un à qui le problème ne faisait pas peur ?

Lorsque vous êtes face à une situation problématique, vous recevez en fait une indication, un message sur votre capacité actuelle, vos propres limites.

Imaginons que vous cherchiez à changer de poste et que vous ne savez pas comment faire, par où commencer, quel parcours suivre, quel salaire demander : vous êtes perdu. Vous cherchez peut-être à dépasser vos problèmes d’argent, à mieux le gérer et à en gagner plus : c’est une situation identique. Il y a cette fille que vous souhaitez séduire mais qui semble inaccessible. Cette personne de votre famille avec laquelle vous êtes fâché. Ce collègue qui vous irrite dès qu’il ouvre la bouche. Vous vous souvenez de la première fois que vous avez du remplir ce formulaire administratif à la con ?

La liste peut être longue.

La seule réponse, c’est que vous n’avez pas le niveau. Vous n’êtes pas à la mesure de vos problèmes.

Alors on veut jouer avec les grands ?

Lorsque vous n’êtes pas au niveau, vous devez le reconnaitre. Cela vous sauvera la vie (peut-être même littéralement !). Dans une étude menée sur le travail, il a été identifié que l’une des principales causes d’incompétence est simplement le fait que les gens ne savent pas qu’ils sont incompétents (rendez service à votre chef et allez donc lui dire!).

Lorsque vous êtes face à un défi, demandez-vous si vous êtes en mesure de réussir. Ajoutez une pincée de développement personnel façon pensée positive, wishful thinking, si-je-veux-je-peux, pour booster votre égo et cherchez ce que vous pouvez faire pour être à la mesure du problème à résoudre. Autrement dit, qu’est-ce qui vous manque actuellement ?

Vous devez donc croire que vous pouvez réussir mais vous devez aussi chercher une réponse et établir un plan pour combler vos lacunes.

Réduire vos problèmes

En fait, les problèmes n’existent pas vraiment (sauf dans les jeux vidéos et leurs satanés boss !). Ce sont des “constructions mentales” qui nous permettent de réaliser que nous ne sommes pas à la hauteur.

Quel que soit le défi dans votre vie en ce moment, je peux vous assurer que :

– soit vous gagnez, soit vous changez de combat

– qu’il y aura d’autres défis à relever

– qu’il n’est pas forcé de chercher à gagner tout le temps !

Qu’allez vous faire pour surmonter la difficulté ? Peut-être une seule chose : devenir meilleur. Etre tellement bon que ce qui était un problème bloquant ne sera plus perçu comme tel et deviendra une formalité.

Assez parlé, à vous de jouer 😉

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Commentaires 39

  1. Hello, la réflexion est intéressante. Je m’accorde à considérer la quasi totalité des problèmes sont aussi des challenges, mais l’idée de dire que les problèmes n’existent pas à double tranchant. Je considère que c’est l’idée même d’avoir un problème qui nous force à nous surpasser. Quand tu dis les problèmes n’existent pas, est-on sur un simple réajustement linguistique ou remet tu en cause l’existence même du concept de “problème”?
    A tt!

    1. Post
      Author
  2. Bonjour,
    Je pense que c’est une manière de dire que si on fait l’effort de se mettre à niveau pour régler un problème, que l’on se place en position de les résoudre, alors il n’y a plus de probléme mais que des solutions.

  3. Le mot problème à une connotation négative car on s’arrête souvent à sa définition première (ennui, difficulté). Considérer un problème comme un défi nous permet de prendre du recul, et par là même, de mieux en cerner les contours. On sort la « tête du guidon » et on se dit qu’on pourra en tirer quelque chose de positif, à savoir, apprendre quelque chose (même si cela ne parait pas évident au départ).
    Je n’irai pas jusqu’à dire que les problèmes n’existent pas, mais je les considère comme des tremplins.
    “La difficulté attire l’homme de caractère, car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui-même” (Charles de Gaulle)

  4. Entendu dans 7 ans au Tibet:
    “Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s’inquiéter. Mais si le problème n’a pas de solution, s’inquiéter ne change rien”

    En fait, un problème n’en est un que lorsque on doit se pencher dessus un minimum. Parfois, le fait de juste y penser le résoud.

    Un bon conseil pour faire face à vos problème ET LES RESOUDRE… demandez à ceux qui sont passés par là et relativisez. Il se pourrait que la solution soit là où vous n’avez jamais regardé ou que le problème ait été inventé de toute pièce.

    Attention: faire l’autruche ne résoud rien

  5. C est une des 17 principes a suivre de T. Harv EKER (SECRETS OF THE MILLIONAIRE MIND : mon livre de chevet) > il a vraiment transformer ma vision d’enormement de choses.

    rich people are greater than their problem …

    a mediter ….

  6. Et la taille du problème, elle ne compte pas ???

    Je viens de signer pour des apparts en investissement locatif avec des travaux dont une partie que je comptais réaliser moi-même : on vient de me découvrir un cancer de la peau à opérer, un ménisque lui aussi à opérer, tout ça en moins de 15 jours…

    Et bingo, le corps somatise : j’ai maintenant les boules au sens propre comme au figuré puisque je m’offre en prime une infection sévère des amygdales depuis quelques jours !

    Si vous avez des bouquins qui apprennent à relativiser, je suis preneuse : je vais bientôt avoir du temps pour les lire…

    1. Il est vrai que c’est facile de donner des conseils et faire de la masturbation intellectuelle autour de comment ne pas percevoir les problèmes, quand on en a pas connu d’aussi grave.

      Bon courage à toi Lili.

  7. Salut Lili,

    bien sur , je comprends et j entends bien ce que tu me dis.
    Premierement, on peut quand meme se rendre compte que ton cas et ce qui t arrive est assez extreme.
    tout ca en meme temps.
    Je ne suis surement pas en position de te dire qu il faut rigoler et que tout va bien.
    Evidemment chaque probleme est a considerer avec son poids.
    Mais la question principale reste que malgre ce qui t arrive, quelle place vas tu prendres?
    Celle de la victime a qui tous les malheurs arrivent ou celle d un acteur qui malgre les intemperies, va mener sa barque de front.(autre principe de T Harv EKER)
    Car que tu endosses le role de victime ou le role d acteur, la situation sera pareille, et les aleas de la vie resteront les memes. Je rejoins ainsi mon ”deuxiement ” ou ce que je voulais mettre en avant avec T Harv Eker quand il dit que les gens riches sont plus grands que leur problemes, c est que malgre ce qui t arrive ou ce que les gens rencontrent comme probleme dans leur vie, si il arrivent a etre plus grand que ceux-ci, ils atteindront leur but.
    Ils verront que les problemes ne sont plus des problemes ou ne deviendront plus que d infimes soucis.
    Ils surpasseront ces etapes avec plus de facilite a chaque fois.
    Ce qu il utilise comme exemple : c est que si vous avez un souci qui vaut 10 sur une echelle (une echelle ou plus le chiffre est eleve, plus le probleme est grand) et que votre niveau d encaissement est a 2 , vous avez du mal a le controle.
    Mais que si vous arrivez a vous elever a un niveau 40, alors cet obstacle qui paraissait insurmontable, paraitra comme une piqure de moustique qui vous chatouille a peine.

    Sincerement, tres loin de moi , l idee de faire le moralisateur ou le donneur de lecons.
    Ce que je veux dire , c est que tu as cette maladie, mais tu es aussi proprietaire…
    d’ autres vivent dans la rue, je connais quelqu un qui n a ni bras , ni jambes… mais il va traverser la Manche a la nage …
    Il y aura toujours des mieux lotis et des moins biens lotis ou meme des pas du tout lotis …

    MAIS SI TU VOIS TOUS TES PROBEMES COMME DES PROBLEMES, TU N AURAS QUE DES PROBLEMES DANS TA VIE.

    Moi, j ai arrete de percevoir les choses comme des problemes et tous les jours … tous les jours , je me rends compte de la chance que j ai
    Les seuls problemes que je rencontre ne sont que de petites etapes a franchir pour arriver a mon but

    cordialement
    yves

    1. Prend le pas mal Yves, mais j’aurais pas oser dire cela, (même si tuas pas tort dans le fond), tant qu’on a pas connu certaines situations, c’est tout de même facile de relativiser.

      1. Salut Fabrice,

        il n y a aucun souci ,
        je comprends tout a fait

        et c est pour ca que j ai bien dit que je ne suis ni le moralisateur , ni le donneur de lecons.
        Ce que je dit est la , les principes sont la
        les gens font ce qu ils en veulent.

        Mais alors, je me pose la question ou situes tu la limite des situations acceptables ???
        Maladie , harcelement, inceste, adultere, perte d emploi, perte d un membrede la famille, accident corporel, derglement alimentaire, biologique, pression au travail, pression de la societe, faillite commerciale, echec amoiureux, mort de l animal de compagnie, blessure psychologique, frustration identitaire, …

        Tu vois, comment dire quelle situation merite d etre relativiser ???
        Finalement aucune …
        C est pour ca qu il est bien plus interessant , de changer sa facon de voir les situations.

        yves

        1. Ca en devient un “problème” physique, qui n’a pas réellement été créé de manière direct ou indirect. Ca arrive et c’est tout. Et quand ça arrive à soi-même, on prend conscience de son état.

          J’ai vu la mort de près, très près… une fois. Je peux vous dire que, sur le moment, je cherchais la solution avec tout mon corps. Instinct, réflexion, tripes,… tout y était! A ce moment, une seule pensée me traversait l’esprit et elle était dirigée vers mon nombril uniquement. A ce moment là, personne ne pouvait m’aider et le pire c’est que je m’y étais foutu tout seul! C’était pas une saloperie de cancer, c’était un acte délibéré… inconscient, mais délibéré!

          Au final, Lili, et avec tout le respect que je te dois, tu as tout mon soutien. Seulement, même si “seulement” est un mot faible, on peut guérir du cancer. Et le fait d’ajouter d’autres soucis comme étant des surplus de ton “gros problème” te place dans un état de victimisation qui ne va pas s’améliorer si tu ne te reprends pas en main. Chaque “problème” doit être vu séparément et corrigé séparément.

          Je suppose que ton opération du méniske n’aurait pas été aussi grâve si tu n’avais pas des travaux important à faire.
          Je suppose que ton problème financier n’en aurait pas été un sans ton cancer.
          Je suppose que les boules n’aurait jamais eu lieu d’être sans tout le reste.

          Et enfin, je suppose que le petit africain de 5 ans qui n’a jamais mangé plus de 150gr de nourriture sur une journée de sa vie, que l’indienne de 15 ans qui va accoucher sans avoir accès à un hôpital ou que le chinois de 8 ans qui travaille dans les mines avec ses 2 frères car le troisième est mort la semaine dernière,… tous ces gens là se fichent pas mal de nos petits soucis, comme la plupart des biens lottis se fichent pas mal d’eux.

          Si tu repasses par ici:

          Je te souhaite, Lili, de guérir et de montrer au monde que tu as su garder la tête haute même au plus bas.

  8. Bonjour Michael,

    Lecteur régulier de ton blog, je réagis aujourd’hui sur cet article.

    Pour ma part, je ne nie pas ne pas avoir de problèmes. Simplement j’ai suffisamment d’estime pour moi même pour savoir que j’y trouverais tôt ou tard une solution.

    En fait parce que chacun de nous est responsable de sa vie et de ce qu’il en fait, nous sommes donc les responsables de nos problèmes.

    Puisque nous les avons créé nous mêmes, nous devons donc être capables de les résoudre seuls.

    Bonne soirée à tous.

  9. Bonjour,

    D’une manière générale, il y aura toujours des personnes qui se créeront des problèmes pour chaque solution… Et d’autres qui trouveront des solutions à chaque problème…

    Et pour rebondir sur le message de “isadu68” :
    “Considérer un problème comme un défi nous permet de prendre du recul”… et je rajouterai : car prendre du recul c’est aussi prendre de l’élan pour mieux rebondir et mieux vivre certaines situations “considérée” comme problématique 🙂

    Bonne journée.

    David. 🙂

  10. “La seule réponse, c’est que vous n’avez pas le niveau. Vous n’êtes pas à la mesure de vos problèmes.”

    Un peu trop lapidaire, ce coup-ci. Si on parle de niveau, là on serait “low-value”.

    Les problèmes (et pas les ennuis de santé) sont des opportunités en tenue de travail.

    Opportunité d’apprendre, de se forcer la main, d’affronter l’obstacle, d’innover, et même de toucher au génie.

    Pas d’entendre “t’as pas le niveau, changes de combat”.

    Quel négativisme…

    Quant aux ennuis de santé, on change de dimension, on touche au vital. Eviter les poncifs sur la somatisation serait bienvenu. La cause du cancer n’est pas à 100% le manque d’intelligence.

    1. Je ne suis pas d accord avec toi du tout

      On ne devrait pas employe le mot “niveau” en fait.
      Il entraine a la confusion.

      Mais c est bien l idee , de surpasser cet obstacle avec plus ou moins de facilite.

      Et pour les ennuis de sante, je pense quand meme que 90% des gens nont pas le cancer ou souffre atrocement d une maladie incurable, desole

      La plupart des gens n ont que leur “probleme” d etre plus beau , plus mince, plus grand, plus fort, ressembler aux stars, avoir plus d argent, avoir un boulot peinard…

      Beaucoup
      de gens ont des maladies graves et decident de se battre, et non de se laisser abattre

      Cela prouve bien une chose : que l on decide de l attitude face a une situation

      yves

      1. Oui je suis d’accord sur le fait de ne pas employer le terme de niveau – d’ailleurs très relatif : on se mesurerait à qui, selon quels critères, définis par quelle autorité, etc

        Oui, je fais la différence entre ennui de santé et problème ; c’est juste une facilité de langage dans le présent débat.

        Le “problème” c’est le caillou dans la chaussure : la voiture en panne, le chèque qui n’arrive pas, le train en retard, le PC qui plante, le chef qui gueule, le client pénible, les impôts, le robinet qui fuit le samedi soir, bref, ce que je mets couramment dans la loi de Murphy 😉

        Dans ce domaine, j’en ai connu qui les collectionnaient ! Je me suis toujours dit que s’ils (ou elles) avaient l’idée de dépenser autant d’énergie dans un sens positif, leur réussite serait impressionnante ! Mais bon, chacun ses choix de vie, sur ce plan je pense qu’on est toujours responsable, finalement, de ce qui nous arrive, en “bien” ou en “mal”.

        L’ennui de santé, c’est aussi un problème, ok, et il y a pas mal de petits soucis qui relèvent de la somatisation. Ca ne diminue en rien le ressenti de la personne qui souffre, et asséner “yakaetrepositif” manque de nuance, sinon de respect. On n’est pas à la place des gens, on ne connaît pas les raisons de leur somatisation (même si parfois, ça pourrait nous sembler drôle).

        Par contre, dans l’exemple de Lili, on se trouve dans une dimension vitale, extrême. Je ne crois pas qu’il y ait de solution absolue, ni de vérité unique. Je pense que la voie peut se trouver dans un bon mix de soins adaptés, d’attitude mentale courageuse, et de soutien de l’entourage. Mais quoiqu’on dise ou fasse, elle sera seule à décider de son mental (apparemment il est en acier trempé, plutôt bon signe !)

  11. Il n’y a pas de problème… pourtant reconnaitre que l’on en a un c’est déjà 50% de la “thérapie”. Reste à ne pas rester sur le constat.

    PS : courage & force à toi Lili

  12. Désolé les gars (majorité écrasante ici, il me semble !) d’avoir plombé l’ambiance…

    C’est juste que si j’avais lu l’article 15 jours plus tôt, il m’aurait fait comme certains autres : ouais bof, des problèmes on en a tous.
    Problèmes financiers, familiaux, de boulot… ce sont des problèmes que dans la plupart des cas on voit venir ! Donc on s’organise en conséquence, on les contourne, on fait avec ou on y fait face…

    Là, le sujet m’a tapé dans le mille !
    Evidemment, il y en a qui auront toujours plus de gros problèmes que nous…

    Je dirais que l’importance du problème se situe souvent dans sa brutalité d’apparition !

    Il y a quelques années, j’ai été approchée par une entreprise concurrente de la mienne qui a voulu me débaucher : ça m’a soulevé une tonne de problèmes insoupçonnés ! La flatterie a laissé place à des problèmes de déontologie, de loyauté, d’organisation familiale, d’incertitudes sur le futur… j’ai laissé tomber au bout de 15 jours (et je m’en félicite aujourd’hui).

    Une voiture en panne est un gros problème le matin, le soir c’est résolu.

    Mes problèmes actuels seront eux aussi résolus dans quelques mois, mais cet enchaînement soudain m’a fait naître une question : c’est quoi le prochain problème ?

    Je suis quelqu’un de fonceur et foncièrement optimiste, no souci.

    Mais peut-être que les exemples de problèmes soulevés par Mickaël m’ont paru sur le coup un peu simplistes !
    Même si je suis bloquée au niveau 2 de Touch Detective sur ma DS, je ne considère pas ça comme un problème 😉

    Mais lire “soit vous gagnez, soit vous changez de combat”… ne m’a pas vraiment convaincu dans l’état actuel des choses 😉

    1. C’est toujours un plaisir de croiser quelqu’un qui retourne tous les a priori, ça pousse à réfléchir. Ton message, de prime abord, je ne savais pas trop comment le prendre et encore moins comment y répondre.

      Ce que j’apprécie dans le blog de Mickael, c’est qu’il écrit toujours des articles avec des termes, des tournures et des idées qui poussent à la réaction qu’on soit d’accord ou pas.

      Au risque de me répéter:

      Je te souhaite, Lili, de guérir et de montrer au monde que tu as su garder la tête haute même au plus bas.

  13. Bonjour Lili,

    Je n’avais pas vu votre premier message lors de mon dernier post.

    Personnellement je crois que quelques que soit le type de problèmes, l’inconscient, le mental, “l’attitude positive”, et toutes les choses de ce genre (à partir du moment où elles restent positives) contribue beaucoup à la résolution des problèmes, et même aux problèmes de santé…

    A titre d’exemple, on a diagnostiqué un cancer très avancé du sein à une des personnes de ma famille il y a à peu près 3 ans… Et ça a été très brutal et très rapide…

    Résultat : ablation du sein, et chimio pendant un sacré moment, mais malgré tout cela, rien n’y faisait, le cancer se propageait…
    L’entourage se lamentait, se plaignait,… en gros n’encourageait pas à penser à autres choses qu’à des choses négatives… (c’est difficile à expliquer)…
    Même les médecins lui donnait encore quelques mois…

    Et puis, je ne sais pas quel déclic s’est produit, mais cette personne a, en l’espace d’une semaine, tout claqué : boulot, mari, famille et est parti rejoindre un ami d’enfance pas vu depuis des lustres et avec lequel elle gardait de bons souvenirs…

    Un an plus tard : Le cancer a totalement disparu, rémission totale ! Elle a bien entendu retrouvé famille, mari, boulot, et même les médecins n’y comprenne rien, comme si c’était une miraculée.

    LE gros changement qu’il y a eu, c’est que pendant un moment elle s’est séparé de tout ce qui lui semblait négatif dans sa vie, comme pour tout recommencer de zéro, et lors de son retour elle l’a fait savoir à tout le monde que jamais elle ne voulait revivre dans la “morosité” d’avant…. Et tout le monde semble avoir attrapé le virus de cette attitude positive parmis ses proches, elles les a convaincus, ils l’ont compris… 🙂

    Maintenant lorsque que je vais encore la voir, ce que je constate c’est qu’elle est devenue une personne très dynamique, qui profite du moment présent, souriante, positive, et tout semble lui réussir dans bien des domaines de la vie ! C’est incroyable, je ne reconnais plus la personne d’avant !

    Personnellement après avoir assisté à ça, réalité très positive et heureuse, et également, à l’inverse, après avoir observé d’autres personnes de mon entourage qui se lamente sans cesse, se plaignent, dont les problèmes de santé semblent s’aggraver de jours en jours, mais qui se concentrent et cultivent ces derniers chaque jours. Je pense que le mental joue énormément, et même pour les problèmes de santé considérés comme plus importants…

    Et dans mon exemple, l’entourage proche quotidien, l’essence même de nos croyances qu’on nous a appris durant l’enfance & co, joue aussi énormément… positivement ou l’inverse…

    Après honnêtement, je n’ai pas de conseils particuliers ou de lectures de développement personnel à conseiller précisément… sauf peut-être que là, il me vient à l’esprit la culture de “la loi d’attraction” … par exemple… ou vivre le moment présent…

    J’ai lu beaucoup de choses sur le sujet, mais chacun sera attirés par tel ou telle pensées, conseils ou aides…

    Sur ce bonne journée et courage 🙂

    David.

    PS : Pour rebondir sur une de vos phrases, j’ajouterais : C’est quoi la prochaine solution ? 😉

  14. Pour Lili : je ne trouve pas que tu as plombé l’ambiance, au contraire je crois que ton témoignage a permis de relever la discussion, mais là n’est pas l’essentiel.

    Je te souhaite bien sûr de guérir. Ton mental t’y aidera. Penses que chaque jour que tu vois se lever est une chance pure, unique, inestimable, quoi qu’il arrive.

    Une suggestion de livre : la manuel du guerrier de la lumière, de Paolo Coelho. Reposant, apaisant, ce fut mon fidèle compagnon dans les périodes sombres de ma vie.

    Et puis, si tu aimes le rock : bigrradio.com – pour ma part, ça me réveille le matin, et ça me donne la pêche !

    Bon courage.

  15. Post
    Author

    Évidemment, le terme “problème” résonne en nous selon nos défis actuels, qu’ils soient futiles ou graves comme la maladie.
    Je pense que Lili a bien saisi le fond du propos même s’il ne s’agit que d’un simple écrit dont la portée trouve ses limites.
    L’exemple que donne David est frappant. Face à une situation extrême, on réagit parfois de manière nouvelle pour s’en sortir et d’une certaine manière c’est un moyen de devenir plus grand que son problème.
    Bon courage à toi Lili !

  16. Ma première réflexion après l’accumulation soudaine de mes problèmes moins courants a été : l’invest locatif était-il une bonne idée ? Où sont mes propres limites ?

    Est-ce que le signal d’alarme doit être écouté ou est-ce que je continue de foncer ?

    Même s’il n’y a pas de rapport de cause à effet, on DOIT à un moment donné se poser la question, non ?

    Là, je me suis écoutée et je me suis servie de l’arrêt de travail filé par le toubib alors qu’en temps normal il finit au fond de la poubelle… une première victoire ? :confused:

  17. Pingback: Quel est votre bilan de fin d'année ?

  18. Je voudrais apporter ma modeste contribution à cet échange très intéressant en suggérant à Lili
    1) la lecture de “Aimer ce qui est” de Byron Katie. En gros, l’auteur explique que vouloir que la réalité soit différente de ce qu’elle est est inutile. Cela ne sert à rien de penser que les choses n’auraient pas du arriver, puisqu’elles sont là et que l’on ne peut rien y changer. Elle propose un travail (the Work) pour aider à voir les choses sans résistance et avec détachement.
    2) de voir s’il est possible de faire jouer l’ADI (assurance décès-invalidité) du prêt que tu as sans doute fait pour ton investissement locatif. Ce genre de maladie peut être considérée comme de l’invalidité, et tu pourrais peut-être faire rembourser les mensualités par l’assurance… J’ai eu le cas suite à un accident de voiture et j’ai eu l’occasion de suggérer cela à une autre personne, victime d’accident elle aussi, pour qui ça a marché aussi. On ne sait jamais…
    Et parfois, comme dit le proverbe “à quelque chose, malheur est bon”.
    Je te le souhaite en tous cas, Lili ! 🙂

  19. Identifiez tout ce qui vous irrite dans la vie et tentez de les éliminer un après l’autre. Lorsque ce ménage sera fait et qu’une situation imprévue arrivera, vous aurez du temps et de l’énergie pour y faire face et aussi de la créativité pour tenter quelque chose de nouveau. Car si vous ne changez pas votre façon face à une situation répétitive, le résultat ne changera pas.
    Vous ne verrez plus les problèmes comme des problèmes mais comme des choses à régler et à mettre sur votre liste de todo.
    Bonne chance aussi à Lili!

  20. Bonjour et merci pour tous les messages sympa.

    L’ADI pourra peut-être jouer dans quelques années, mais j’espère bien ne pas en avoir besoin !

    Je n’ai pas exposé mon cas pour le plaisir de l’exposer, mais simplement pour illustrer pourquoi je n’adhérais pas aux messages un peu simplistes du sujet 😉

    Un investisseur qui commence à avoir des problèmes de santé est un investisseur qui va devoir se trouver d’autres objectifs futurs… parce que les banques vont soi arrêter de prêter, soi à quel prix. Fini l’effet de levier ;-(

    Je suis entièrement d’accord avec Martine et un autre sujet de Mickaël : supprimer tout ce qui nous irrite est primordial. Parfois plus facile à dire qu’à faire 😉

  21. Il est sur que quand on parle de problème …

    Le seul vrai problème est le problème de santé.

    Je ne suis moi-même pas malade. Mais ma compagne l’est, mon père l’est. Et sans la maladie, il reste les accidents. Je pourrais vous parler de mon cousin …

    D’un coté, on s’en serait bien passé (je reviens sur ma compagne). D’un autre coté, pour reprendre le proverbe de Sophie « à quelque chose, malheur est bon », sans ça, je n’aurais peut être pas pris de recul, réfléchi et pris certaines décisions …

    Le seul vrai problème est le problème de santé. Le reste, c’est soit une opportunité soit quelque chose à ne pas considérer (car pas de solution, pas important, …).

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