Comment devenir riche

Devenir riche est un rêve pour quelques-uns d’entre nous et un souhait pour beaucoup d’autres. Que vous fassiez partie des rêveurs ou des travailleurs, l’important est d’avoir conscience de quelques éléments clés dans cette aventure. Même si mon objectif n’est pas d’être riche, je vise l’indépendance financière et je pense que les 2 possèdent des caractéristiques communes.

Dans toutes mes lectures, il y a quelques règles qui reviennent sans cesse et je pense que c’est une bonne raison pour les partager avec vous.

Tout d’abord, comment ne pas devenir riche ?

C’est très simple, faites comme tout le monde ! Travaillez pour quelqu’un d’autre si possible à un poste qui ne vous satisfait pas. Trouvez-vous des excuses pour éviter tout changement par exemple vos enfants, votre crédit immobilier ou l’état du marché de la bourse. Soyez plus préoccupé par la peur de perdre ce que vous avez plutôt que par ce que vous pourriez gagner : ça y est 🙂

Parmi ces gens, une partie souhaite vraiment devenir riche et pense que c’est en travaillant dur et en progressant dans la hiérarchie de son entreprise que l’on peut devenir riche. Disons que tout dépend de ce que l’on appelle riche… Ce chemin permettra d’avoir un bon revenu, mais difficilement de devenir riche. C’est le chemin que choisissent souvent ceux qui sont en recherche de reconnaissance sociale et d’une position valorisant le statut.

Pas de produit miracle

Ce qui est fascinant, c’est que nous sommes tous à la recherche d’une solution pour devenir riche et les vendeurs de rêves l’ont bien compris. Regardez le nombre de produits et de promesses sur ce thème pour vous en convaincre. Ma conviction est simple : il n’en existe pas. On ne devient pas riche en achetant un programme “Comment devenir riche”. Aucun gourou aux dents blanches et au slogan qui sonne bien ne pourra faire ça pour vous. Pire, les slogans mettant en avant des revenus espérés “4000 € par mois” sont alors vides de sens.

Le fait de croire en un produit miracle fait d’ailleurs que vous ne serez jamais riche : cette attitude trahit votre manque de confiance en vous.

Pour devenir riche, ils ont tous eu suffisamment confiance en eux. Tous. Ils ont cru qu’ils pouvaient faire quelque chose, sans savoir quoi. Ils ont essayé et ça a marché. Je ne compte plus les gens qui cherchent à devenir riche et qui ne sont même pas capables de défendre leurs idées. La confiance en soi permet notamment une chose : s’il y a un échec, il ne remet pas en cause la personne. Quelqu’un ayant une faible estime de lui et qui subit un échec sera détruit alors que quelqu’un ayant une bonne estime de lui ne sera pas affecté longtemps. L’échec est alors un simple retour d’information : ils se donnent le droit à l’erreur. S’il y a un point par lequel commencer, c’est celui-là.

Je me souviens d’une conversation avec un ami lorsque j’étais en 4e année d’étude et que je devais choisir mon dernier cycle. J’avais déjà conscience de la nécessité de construire quelque chose de grand et il me fallait pour cela faire un nouveau saut en avant et sortir du cycle d’études purement technique. La marche atteignable que j’avais identifiée, c’était une dernière année d’étude orientée management. Elle serait parfaite pour booster ma confiance en moi et apprendre de nouvelles choses. Cet ami me demanda pourquoi je voulais faire ça et ma réponse lui fit dire “Ok, c’est pour avoir plus de bagout alors!” : c’était exactement ça.

L’âge est un facteur important, plus l’on vieillit, plus il est difficile de devenir riche car l’on s’attache aux 3 conneries que l’on possède. A 20 ans, nous n’avons rien à perdre et tout à gagner. Nous sommes prêt à investir du temps et de l’énergie. A 30 ans, ce n’est plus la même histoire surtout si l’on est en famille. Entre 40 et 60 ans, il faut payer pour ses enfants. On voit beaucoup de vieux devenir riche à la fin de leur vie, lorsqu’ils n’ont plus rien à perdre et qu’ils osent enfin se lancer.

Si comme moi vous avez 30 ans et que votre objectif est de devenir riche, vous êtes à moitié dans la merde ! Vous devriez sérieusement considérer cette question : à quel point accepteriez-vous de parier ce que vous avez déjà ? A quel point êtes-vous accroché à votre petit confort ? A votre TV le soir, à vos abonnements ci ou là ?

Lorsqu’on parle de devenir riche, on évoque souvent le fait de faire ce que l’on aime. Ma vision des choses évolue sur ce sujet et je crois qu’il convient d’apporter une nuance au traditionnel “fais ce que tu aimes et l’argent suivra”. On ne compte plus les artistes qui ne peuvent même pas payer leur loyer et à moins que vous souhaitiez grossir les rangs des assistés, il est important de connaitre la différence entre vouloir devenir riche et vouloir faire ce qui nous amuse.

Vouloir devenir riche, c’est choisir une activité lucrative : c’est aussi simple que ça. Vouloir faire ce qui nous amuse, c’est aller vers ce qui nous attire naturellement. On peut par exemple être naturellement attiré par le métier de sapeur pompier et trouver ça amusant (voici un métier honorable!), mais pour autant tout le monde sait que l’on ne deviendra pas riche ainsi. Parfois, on a la chance trouver une correspondance entre ce que l’on aime et ce qui rapporte, mais c’est rarement le cas et vous ne devriez probablement pas chercher à le faire de manière intentionnelle : c’est déjà présent ou ça n’est pas.

Comment résoudre ce dilemme entre notre attirance naturelle pour une activité et un business lucratif ? Il faut prendre une décision. Ce que j’ai appris, c’est que pour la plupart des riches, gérer et développer un business lucratif est ce qui les amuse. Ils se prennent de passion pour une idée et la développent. On ne devient pas riche par hasard.

La véritable question reste donc à quel point voulez-vous être riche ? Pour la plupart des gens -surtout en France- dire “je préfère essayer d’être riche au lieu de faire une activité qui me plait déjà” est un acte impossible, particulièrement si l’on oppose les deux au sens traditionnel.

Il n’y a pas de réponse universelle.

Il y a peu de monde au sommet

La bonne nouvelle, c’est qu’entre ceux qui s’accrochent à ce qu’ils ont, ceux qui ont peur d’agir, ceux qui ont passé l’âge, ceux qui n’ont pas confiance en eux et ceux qui ont un salaire à vie et bien il reste peu de monde !

Ceux qui cherchent à devenir riche sont rares. Très rares. Si vous prenez la tranche de la population entre 20 et 30 ans réunissant les caractéristiques dont j’ai parlé nous arrivons probablement à un chiffre très faible.

Peu importe votre choix, mais faites un choix conscient !

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Commentaires 36

    1. Merci pour ce bel article. C’est exactement ce que je pense.
      Avec un peu de motivation et en croyant à ces idées on peut y arriver j’en suis sûr !
      Chaque pierre posée dans un même but construit quelque chose de grand.

  1. Belle analyse d’une certaine réalité.

    Et parmi les quelques uns qui mettent tout en oeuvre pour devenir riche, seul une infime fraction y parviendra. Car la chance, les bonnes rencontres, et pleins d’autres facteurs souvent incontrôlables sont là pour faire vaciller la fragile stabilité du cheminement vers le succès.

  2. de nombreux salaries peuvent devenir riches.
    d’accord ca ne compte vraiment que s’ils aiment leur travail:
    banque, finance, notariat, medecine “liberale”, pilote avion,
    direction generale.
    Dans tous les cas c’est beaucoup plus une question de rapport de force que de creation de richesse.

    j’ai entendu recemment (Hirsch, citant un rapport INSEE) que le creusement des inegalites en France n’etait pas du a un desequilibre de la repartition de la V.A. entre dividendes et salaires, mais tout simplement d’inegalites croissantes au sein des salaires.

    Si la France manque d’entrepreneurs, c’est aussi parce que trop de salaries sont riches sans avoir jamais produit, fut-ce par chance, la valeur ajoutee equivalente en contrepartie.

    1. il y a aussi les institutions internationales (ONU, Europe, ambassades…)
      ça paye bien, mais les places sont chères. Il faut bosser un moment avant d’y entrer.

  3. Bonjour Michael.
    Très bon article, merci beaucoup.
    Je pense que tu résumes en un post quelques centaines de billets sur le sujet.
    Plein d’ingredients : Droit à l’erreur, age, définition de ce qu’est la richesse…

    Sur ce dernier point, je pense qu’il n’y a pas de définition universelle. Certains se satsfairont de la richesse “de faire ce qu’ils aiment”, sans ce que cela leur rapporte. D’autres ne viseront que la richesse financière.

    Pour moi, la richesse, c’est m’épanouir dans mes différentes vies (familiale, professionnelle, passions,…), sans que l’argent ne soit limitant. L’argent n’est donc pas une fin en soi, mais un moyen.
    Je sais d’ailleurs exactement combien je dois gagner tous les ans pour vivre et pour faire vivre ma famille.

    Ensuite, je te rejoins sur le fait que d’un point de vue pro, créer son entreprise offre un effet de levier potentiel beaucoup plus fort que le salariat.

  4. Aucun rapport avec l’article, mais je n’arrive plus à accéder au forum depuis 2 jours . Il n’y a que moi qui ait ce problème ?

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        2. pour information, j’ai ce probleme avec :

          -safari
          -chrome
          -firefox
          -IE

          chrome et safari donnent un resultat different des 2 derniers .

          PS : je t’ai envoye un email hier, j’espere que tu pourras y repondre 🙂

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  5. Pour maximiser le fait de devenir riche effectivement, voici selon moi, les 2 critères les plus importants :

    – commencer aux environs de la trentaine
    A ce propos, je te rassure Mickael, je pense que tu as l’âge parfait pour débuter (bien évidemment le fait que j’ai bientôt 30 ans, influence mon jugement mais je pense être dans le vrai).
    Pourquoi vers 30 ans c’est plus facile que vers 20 ?
    Et bien tout simplement qu’à 20 ans nous n’avons pas assez de recul. Certains sont encore chez papa et maman à cet âge donc encore beaucoup formatés.
    Alors que vers 30 ans, nous avons l’avantage d’avoir un peu vécu mais pas trop…Biologiquement notre intelligence est à son apogée et nous sommes en plein capacité de tous nos moyens ! C’est donc parfait pour se lancer en évitant tous les écueils de la première jeunesse et les erreurs de débutants !

    – avoir une vie de couple le plus tard possible.
    Même si c’est difficile à admettre, une femme nous prend notre temps, notre argent et nos pensées !
    Autant de choses qui nous éparpillent…
    Cela, n’interdit pas de fréquenter les femmes mais pas dans le sens “vie de couple posée”.
    Les femmes sont nécessaires, d’une certaine manière à notre équilibre mais attention effectivement à ne pas se laisser enfermer dans une vie de couple routinière et improductive !

    1. “Les femmes sont nécessaires, d’une certaine manière à notre équilibre mais attention effectivement à ne pas se laisser enfermer dans une vie de couple routinière et improductive !”….

      Il y a une autre possibilité : être en couple avec quelqu’un qui croit en vous et vous apporte son soutien ! Et oui, cela existe 😉

      Excellent billet, merci de l’avoir partagé !

      1. Je suis d’accord avec Arnaud pour dire que 30 ans est le bon âge. Généralement, à cet âge là, on est pas encore encroûté par un emploi et un salaire construit année après année. Je suis employé actuellement et des gens qui ne croient plus en eux, j’en vois tous les jours. Et plus on avance dans la hiérarchie, plus les gens croient que le metro-boulot-dodo est la seule manière de vivre.

        Ces gens là ne se rendent pas compte comme ils se font plumer année après année, pousuivant une carotte et se satisfaisant de coups de baton. C’est ce genre de personne qui décèdent un an avant leur retraite ou qui se font virés par un supérieur qui a 15 ans de moins qu’eux, et j’aurais pu en faire partie.

        Là où je suis moins d’accord, c’est sur la vie familiale. Je pense que le couple et les enfants ne sont un frein que pour les personnes moins déterminée à s’enrichir. Ceux qui sont conscients du potentiel utilisent leur famille pour avancer plus vite et plus loin. Personnellement, j’ai commencé à prendre conscience de mes capacités et à prendre mon avenir en main à la naissance de ma fille.

  6. L’important dans la vie est de faire au mieux avec ce qu’on a. Ceux qui sont devenus richissimes avaient déjà quelque chose au départ et bien plus qu’une idée: des conditions idéales pour réussir, un capital “social” (des relations) etc.

    Ca me débecte d’entendre des gens prôner le mérite alors que tant de facteurs externes gouvernent en fait la destinée de chacun. On tend immanquablement vers ce qui nous semble possible et ce qui nous semble possible dépend de facteurs que nous ne pouvons maîtriser.

    Le riche s’enrichit car il sait qu’il a les moyens de devenir plus riche encore. Le pauvre s’appauvrit car il sait que les opportunités pour investir son maigre capital seront réduite comme peau de chagrin, alors il consomme car il ne lui reste que ça à faire.

    Un pauvre n’a aucune fond de roulement. C’est la différence avec le riche qui payer les charges initiales de l’entreprise en attendant qu’elle soit rentable. A un moment donné, le pauvre est pris à la gorge si l’activité ne démarre pas. Le riche, lui peut voir venir et même passer à autre chose s’il a encore des fonds en abondance.

    C’est marrant, mais plus on a d’argent, plus on songe à en accumuler d’avantage. Moins on a d’argent, et plus on se demande dans quelles babioles on va le dépenser: un MP3, le dernier portable à la mode etc.

    En réalité, ceux qui consomment le plus sont justement ceux qui ont le moins de moyens pour consommer. Ma théorie, c’est que le fait de consommer provient surtout du désir d’accaparement de l’objet de consommation plutôt que son utilité réelle.

    Le riche sait que s’il le veut, il peut avoir cet objet. Il n’a qu’à sortir des espèces et régler immédiatement; mais il ne le fait pas car il considère cela comme un gaspillage. Il mesure réellement l’utilité ou plutôt l’inutilité que cet objet apporterait à sa vie. Il sait qu’il peut l’acheter: PAF ! Son désir d’accaparement, de possession symbolique est satisfait dès cet instant et il n’a pas besoin de le transmuter en acte d’achat.

    Le pauvre, lui, sait qu’il n’a pas vraiment les moyens de s’offrir cet écran plat. Il voit son désir d’accaparement frustré. Il ne peut exercer son pouvoir de possession symbolique de cet objet (écran plat, téléphone à écran tactile de la marque à la pomme, etc.) alors il est obligé de le réaliser sur un plan matériel. Il va se serrer la ceinture, payer avec la carte à débit différé en se disant qu’il mangera moins de viande le mois prochain, il va prendre un crédit à 18%, bref, il va tout faire pour se dire que lui aussi a droit à cet objet. Il doit prouver qu’il peut l’avoir sur un plan matériel, parce que son patrimoine ne le lui permet pas sur le plan symbolique.

    Voilà pourquoi le pauvre s’appauvrit et le riche s’enrichit. Le pauvre est obnubilé par le désir lancinant de s’accaparer les ressources alors que le riche se concentre sur l’augmentation de son patrimoine car il sait qu’il n’a rien à se prouver, ni a prouver aux autres car il SAIT que s’il le VEUT, il peut consommer et donc qu’il n’a finalement pas besoin de cosommer….

  7. Tout à faire d’accord sur le cercle vicieux entre les pauvres et les riches !
    Les facteurs extérieurs y sont bien sûr grandement pour quelque chose.
    Bien sûr que quelqu’un de “favorisé” dès le départ aura moins de chance d’échouer.
    Ses actes au quotidien auront moins de repercussions.
    Alors que pour quelqu’un qui cherche à se “hisser”, il va rencontrer de multiples occasions de se planter s’il ne fait pas attention.

  8. QUOTE
    Aucun gourou aux dents blanches et au slogan qui sonne bien ne pourra faire ça pour vous. Pire, les slogans mettant en avant des revenus espérés « 4000 € par mois » sont alors vides de sens.
    UNQUOTE

    On est riche avec 4000 euros mensuel ?????
    Arff……

  9. QUOTE
    Si la France manque d’entrepreneurs, c’est aussi parce que trop de salaries sont riches sans avoir jamais produit, fut-ce par chance, la valeur ajoutee equivalente en contrepartie.
    UNQUOTE

    Beaucoup de frustration dans ce propos: il serait temps que tu prenne conscence que les gens salariés bien payés, le sont parce que justement ils apportent quelque chose.
    Mais bon, ce discours, il à du mal à passer en France, où l’on est encore dans les mentalités à un “pareil pour tout le monde” issue du monde collectiviste….

  10. Excellent article Michael, je vois qu’apres tout ce temps tu arrives toujours à nous surprendre.
    Je suis de ceux qui pensent que si tu fais quelque chose qui te plait l’argent suivra mais en effet de nombreux exemples viennent contredire cette règle, il est donc primordial de considérer en même temps l’aspect “business” de l’activité au risque de ne pas pouvoir correctement en vivre.

  11. Excellent billet, toutefois, il serait intéressant de parler de “La mise de départ” car qu’on le veuille ou non, on ne devient pas riche à 20ans sans une mise de départ (un capital, un réseau, un coup de pouce) et je vois mal le jeunot plein d’idée avec un peu de talent monter sa boîte, aller voir le banquier, se trouver un local, commander des fournitures, contacter des publicitaires, se faire une réputation auprès de grands, avec un simple livret “jeune”, le sourire et le vas-y fiston des parents.

    Autour de moi, j’ai un deux exemples malheureusement cyniques de vérité :
    1) une jeune femme, 23 ans, tout juste sortie de son école de commerce parisienne, décide de monter une SSII, papa/maman + la famille lui donne 150 000€, et un début de carnet d’adresse, 2 après, 5 salariés, on est en 2000, tout va pour le mieux, puis éclatement de la bulle, krach boursier, et c’est la
    banqueroute, tout est liquidé. L’aventure s’est terminée que cette brave femme s’est mariée, a refait une année de spécialisation et s’est fait embauché dans un grand groupe. Bilan : une expérience qui a mal tournée mais sans trop de fracas.
    2) un type plein d’idées, universitaire de formation, sans un rond, ni patrimoine, ni relations familiales, enchaîne depuis 6 ans petit boulot sur petit boulot dans l’espoir un jour d’économiser suffisamment pour monter sa boîte. Ces salaires lui permettent tout juste de payer un loyer. Il est parti au canada un an mais le résultat a été le même qu’en France, pas d’argent, pas de relation, pas de diplôme “nec plus ultra” donc petit boulot en prime. Bilan des courses, à 31 ans, sa vie semble derrière lui et sa confiance, ses projets commencent à s’évanouir.

    Si devenir riche, c’est entreprendre, tout n’est pas question de volonté mais surtout de conditions initiales, de hauteur de marche à franchir. S’il était simple de tenir ce raisonnement en 1968 où les inégalités étaient moindres et où la classe moyenne pouvaient largement se hisser, aujourd’hui, sans un bon coup de levier de départ, c’est une autre paire de manche.

    Si devenir riche se résume à chercher le plus vite à être rentier par la simple voie du placement fructueux, à collectionner des appartements en location, des actions ou des SICAV, alors là, le pauvre n’a plus aucune chance de l’espérer………..

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      Le capital est une fausse excuse.
      Dans l’exemple de la SSII, c’est particulièrement vrai : c’est typiquement une activité ou aucun capital n’est requis pour démarrer et où le “produit” ne nécessite pas de développement. Votre amie s’est planté tout simplement 🙂

    2. Shikam>”Si devenir riche se résume à chercher le plus vite à être rentier par la simple voie du placement fructueux, à collectionner des appartements en location, des actions ou des SICAV, alors là, le pauvre n’a plus aucune chance de l’espérer………..”

      Si tu appelles Pauvre quelqu’un qui part de rien alors ce n’est pas vrai : beaucoup de personnes sont parties de rien. Même si ce n’est pas le cas de tout le monde.
      Ce qui compte, après les critères du choix de vie et le contexte, c’est la motivation !
      Quelqu’un qui est né avec un “héritage” en main sera moins motivé.
      Il faut être MOTEUR, et avancer coute que coute, quelque soit les difficultés.
      Ca me fait sourire quand tu dis que ton type de 31 ans à sa vie derrière lui.
      Justement je pense tout le contraire, je pense que c’est le bon age pour démarrer une nouvelle vie !
      Alors certes il a tenté beaucoup de choses mais en persévérant il vas y arriver car il connait déjà toutes les erreurs à ne pas faire.
      Il faut qu’il soit patient ! Si ses idées sont vraiment bonnes elles finiront par payer !
      Je connais quelques personnes qui ont montées leur affaire et il ne faut pas espérer rouler sur l’or dès la première année. Certaines se sont même endettés jusqu’au cou pour y arriver !
      Mais elles croyaient dur comme fer en ce qu’elles faisaient et quelques années après leur business s’est mis à “décoller”.

  12. Bien sûr… Et le banquier qui continue à allonger la mise même quand ça ne démarre pas… C’est bien beau de rêver. Arrêtons avec ce volontarisme tout puissant et jouons cartes sur tables:
    Le riche a un capital de départ, mais ce capital peut paraître “rien” pour l’un et beaucoup pour l’autre.
    Ca veut dire quoi partir de “rien” ? On ne part jamais de rien dans la vie et les riches aiment bien dire que s’ils ont réussi, c’est grâce à leur travail, leur volonté etc…
    Tout en omettant certains appuis essentiels, une certaine éducation financière, une sécurité matérielle de départ qui paraît normale pour l’un, exceptionnelle pour l’autre….

    Je le dis et le redis: Jouons cartes sur tables et arrêtons de raconter des salades. Tout est fait pour faire croire au pékin de base qu’il peut devenir riche s’il le veut, mais essayez seulement de monter un petit stand de ventes de boissons, une petite buvette dans la rue, lors d’une manif’ ou autre; déjà si vous n’avez pas d’autorisation préfectorale, vous allez au commissariat. Voilà comment on encourage l'”esprit riche”.

    Warren Buffet n’est pas parti de rien. Bill Gates non plus. Steve Jobs non plus. Rockefeller non plus. Ces personnes n’étaient pas pauvres; ils appartenaient au pire à la classe moyenne supérieure.

    Arrêtons avec ce mythe du parti du rien. Ca me débecte d’entendre ça. C’est du flan. Jamais vous ne deviendrez riches. Au mieux, mettez du fric de côté pour vos enfants et amassez sur plusieurs générations; vous pourrez peut-être espérer quelque chose.

    Mais si l’Etat vous voit grossir un peu trop, il s’arrangera pour que vous vous pourfendiez vous-même. Il vous poussera à la faute (par exemple, il ne tiendra pas compte de vos petites omissions fiscales et vous penserez que vos avoirs sont à l’abri de l’impôt) et PAF! Il arrivera comme un vautour à coup d’amendes, d’intérêts, de pénalités de retards pour vous stopper dans votre élan.

    C’est humain de vouloir frauder l’impôt et ils le savent; ils laissent faire pour prendre plus par la suite.

    Et la bourse, n’en parlons pas… L’arnaque la plus monumentale de tous les temps; il n’y a que le casino qui gagne à tous les coups, c’est bien connu. La bourse, c’est une question d’information.
    Une minorité la connait, ou provoque les événements, la chute des cours etc. et rafle la mise à tous les coups.

    Ne vous soumettez plus et amassez. Ne misez plus, mais patientez. Même sur plusieurs générations, créez une famille de riches, amassez, épargnez, investissez dans la pierre, dans du sûr, du tangible.
    Eduquez vos enfants en leur apprenant à amasser le fric plutôt qu’à le dépenser dans toutes les merdes écrans plats, Iphones et tous ces gadgets appauvrissants.

    Fabriquez une génération d’investisseurs, et d’épargnants, et non pas de consommateurs moutons qui s’achètent toutes les merdes inutiles qui appauvrissent l’intellect et le porte-feuille.

    Ces seules dépenses doivent être votre credo: logement, énergie, nourriture, un peu de vacances, des loisirs pas trop chers.
    Le reste, à amasser, et ne jamais y toucher; tenter de le transmettre à la future génération et l’éduquer dans l’optique de faire grossir ce capital et s’accaparer les vrais biens, les biens tangibles: les biens en pierre.

  13. Pas mal d’aborder sous l’angle comment ne pas devenir riche … Il n’y a pas de recette miracle, développer un talent ou une compétence, les mettre en avant, persévérer, saisir les opportunités, avoir de la chance …

  14. Nikos> Réussir à partir de rien dans la pierre c’est possible alors ce n’est pas la peine d’étaler ton pessimisme à tout va.
    Je connais au moins deux personnes qui sont devenues riches dans l’immobilier à partir de rien.
    Je n’ai jamais dit que c’était facile mais c’est tout à fait possible. A condition de faire les bons choix et de savoir se remettre en question.

  15. Bonjour,

    Merci beaucoup pour ce site, qui me permet de sintétiser les idées que j’ai dans ma têtes au sujet de l’argent.

    Merci à Michael pour ses posts car chacuns d’eux me permet d’avancer.

    Je suis très jeune mais déjà dans la bonne voie pour devenir aisés, très aisés…

    Etudes, argent, épargne sont las clées.

    Les femmes éparpille nos pensées.

    Stay focus and keep it cool.

    Save every dime and don’t waist it in every shit the adverts said you to.

    Bref, dépenser ce qu’il faut pour se loger (le mieux est de rembourser un crédit à la banque pour l’achat d’un bien immobilier et bien choisir ce dernier) pour manger et s’habiller. Si tu peux rouler dans la derniere voiture a la mode, économise jusqu’à pouvoir te l’acheter mais ne le fait pas; c’est encore plus jouissif…. Tu te dit: “je peux m’offrir ce tas de ferrail mais je ne le fait pas, j’ai de la maille et je vous emmerde” Après, continuer avec un petit logement, économiser jusqu’à pouvoir te l’offrir mais ne le fait pas, achète-roi un petit garage et loue-le.
    Continue sur cette lancée-là, t’est bien partis!!

    Je suis tout à fait d’accord: la richesse est sur le compte en banque, pas sur la marque de tes chaussures ou sur ton maillot…

    La richesse se fait en parallèle de l’argent dans la tête, avec les beaux pasages que tu a vu dans tes voyages… hors-saison (hé oui… célibataire sans enfants…..)

  16. Bonsoir,
    J’ai traduit un ebook de Bob Proctor et Michele Blood sur l’argent. Il devrait se vendre comme des petits pains mais c’est très lent. Cela fait deux mois qu’il est sorti. J’ai suivi la loi de l’attraction sur laquelle il repose et pendant la durée de la traduction j’ai été comme en méditation. Et puis, la peur de ne pas savoir en parler, de ne pas savoir “le vendre” m’est venue, je me sentais si responsable de “mon” ebook. Je voulais aussi un bon retour car je touche sur une partie des ventes. Et là je me dis que c’est normal si je ne le vendais pas : je n’aimais pas les gens assez pour qu’ils l’achètent. Je voulais devenir riche d’abord, avant les autres. Ce soir, en rentrant par le métro, j’ai vu l’absurdité de mon impatience. Ce livre est pour tout le monde, pour que ces jeunes qui buvaient de la bière dans le métro deviennent riches, pour que ce fléau du manque quitte le monde. Alors je vous ai tous aimés et je vous souhaite à tous de gagner beaucoup beaucoup d’argent pour que les jeunes du métro et de partout ne soient plus jamais jamais accablés. Et qu”‘un jour, un jour viendra, couleur d’orange … où les gens s’aimeront”….

  17. Salut,Trés bel articles et trés bonne analyse, alors: J’ai 14 ans et je suis en 2nd ( je suis en avance ) et je voudrai devenir riche (assez jeune ) vers mes 20 -25 ans!

  18. J’aime beaucoup votre article. Nous vivons dans une société capitaliste et pourtant peu de gens comprennent notre société et son fonctionnement. Les riches n’ont pas intérêt à ce que la masse en sâche trop s’ils veulent continuer à contrôler les méthodes et les ressources. Si bien que l’école ne nous apprend pas à devenir riche, elle nous apprend à devenir un bon travailleur productif et ponctuel, nos parents ne nous apprennent pas à devenir riche, ils n’ont jamais su comment, quand aux médias, il nous font croire que la richesse c’est une qiestion de chance en véhiculant des articles à propos de faits divers qui nous font croire qu’un jour nous deviendrons riche comme par magie nous aussi… Je vais mettre votre site dans mes favoris. Merci
    http://Www.faiscommelesriches.com

  19. Bonjour,

    Il y a plusieurs façon d’aborder le sujet, en effet pour devenir riche il y a des bases à connaitre et à appliquer si on ne naît pas riche!
    Etre à l’affût d’opportunité, mettre ses compétences en valeur, oser se lancer, savoir apprendre et entreprendre…

  20. Moi perso pour commencer a toucher des bon revenu sur internet, j ‘ai passé des nuit blanche devant mon ordinateur des 15 heures par jours pour gagner des miettes et maintenant que j ‘ai compris je me dit mais mince pourquoi ne pas avoir appliquer c’est technique au début je m en suis voulu!

  21. Pour etre riche il faut savoir donner, pour etre riche il faut savoir trouver, pour etre riche il faut savoir apprendre, pour etre riche il faut savoir se concentrer, pour etre il faut savoir se differencier, pour etre riche il faut savoir lutter contre la negligence, pour etre riche il faut avoir confiance en soi, pour etre riche il faut savoir lutter contre les voleurs de reves, pour etre riche il faut savoir etre creatif, pour etre riche il faut savoir eviter l’etat,, les banques, l’entreprise, la routine…

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